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Un homme tue sa femme pour avoir refusé de faire l’amour



A Kindia, une ville de Guinée située à 135 km de Conakry, la capitale du pays, le nommé Abdourahamane Camara a tué son épouse 5 août 2020.

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Thierno Hawa Sylla aurait refusé de faire l’amour avec son mari. Très mécontent, le sieur Camara s’est engagé dans une bagarre avec elle. Malheureusement, elle a perdu la vie. Alors que la femme aurait expliqué à son époux qu’elle était dans la période menstruelle.

« J’étais couchée, lorsqu’on m’a réveillé pour m’informer que Thierno Hawa et son mari sont en train de se battre. Je suis venue frapper à plusieurs reprises à leur porte, qui était fermée. Mais, lorsque son mari a ouvert la porte, la femme était à terre. J’ai demandé au mari qu’est-ce qu’il y a, mais il ne m’a pas répondu. Son frère aussi est venu lui demander, il n’a donné aucune réponse. Je me suis adressée à la femme qui était couchée, mais elle n’arrivait pas à parler. Lorsqu’elle s’est retrouvée, ma mère lui a demandé qu’est-ce qui est à l’origine de cette bagarre, elle a répondu que son mari voulait coucher avec elle mais elle lui a dit qu’elle est en période menstruelle. Son mari a insisté mais elle a refusé. Selon elle, c’est ce qui a causé cette bagarre », a expliqué Mariam Sylla.

La fille de la défunte, Djénabou Touré, et d’autres membres de la famille l’ont transportée d’urgence à l’hôpital régional de Kindia, où elle a rendu l’âme, indique Guinée Matin.

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« C’est aux environs de 1 heure que ma maman m’a appelé au téléphone. Elle m’a dit : Djènè, si vous ne m’envoyez pas à l’hôpital, je vais mourir. Je suis partie immédiatement à la maison, et j’ai trouvé que ma mère était incapable de soulever sa tête. Je lui ai demandé ce qui s’est passé mais elle ne pouvait pas parler. Mon père est venu lui dire d’arrêter de faire peur aux gens.

Il l’a massée mais ma mère ne pouvait plus se lever. C’est ainsi on l’a transportée à l’hôpital. Les médecins nous ont demandé qu’est-ce qui s’est passé, mais ma sœur n’a pas voulu leur dire la vérité. Ils nous ont dit qu’ils ne peuvent pas la toucher et nous ont demandé d’aller au CTépi (centre de traitement des épidémies). Mais, nous avons trouvé qu’il n’y avait personne là-bas. Finalement, les médecins ont mis ma mère dans un lit. Quelques temps après, j’ai constaté qu’elle ne se remuait plus et j’ai su qu’elle a rendu l’âme », témoigne Djénabou Touré, sous le choc.

 

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