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Un colonel britannique prétend que Vladimir Poutine a signé son propre « mandat d’arrêt » en éliminant Evgueni Prigojine

Selon un colonel de l’armée britannique, Vladimir Poutine serait personnellement impliqué dans l’élimination d’Evgueni Prigojine, un homme d’affaires russe également connu sous le nom de « chef du troll de Poutine ». Le colonel, dont l’identité ne peut être divulguée pour des raisons de sécurité, affirme que Poutine aurait signé son propre « mandat d’arrêt » en orchestrant l’assassinat de Prigojine.

Prigojine est connu pour son implication présumée dans des activités liées à la désinformation en ligne et à l’interférence électorale dans divers pays. Il aurait créé une usine de trolls appelée l’Agence de Recherche Internet (IRA) en Russie, qui aurait influencé les élections aux États-Unis en 2016. Prigojine aurait également des liens étroits avec la société mercenaire Wagner, une organisation militaire privée active dans les conflits en Syrie et en Ukraine.

Selon le colonel britannique, Poutine aurait perçu Prigojine comme une menace pour sa réputation et aurait décidé de prendre des mesures pour le neutraliser. En signant son propre « mandat d’arrêt », Poutine aurait donné le feu vert à l’élimination de Prigojine. Bien que la méthode exacte utilisée pour éliminer Prigojine ne soit pas décrite, le colonel soutient que cela aurait été fait discrètement et avec méthode pour éviter tout soupçon.

Les autorités russes ont jusqu’à présent rejeté ces allégations comme étant infondées et ont affirmé qu’il s’agit d’une tentative de diffamation contre Poutine et le gouvernement russe. Cependant, le colonel britannique maintient ses déclarations, insistant sur le fait qu’il dispose de preuves solides pour étayer ses affirmations, bien qu’il ne soit pas autorisé à les rendre publiques pour des raisons de sécurité.

Il est important de noter que ces allégations restent donc non confirmées et ne reposent jusqu’à présent que sur les dires d’un seul individu. Cependant, elles soulèvent des questions concernant le rôle présumé de Prigojine dans les activités de désinformation et d’interférence électorale, ainsi que sur les méthodes potentielles utilisées par le régime russe pour éliminer ses opposants présumés.

En attendant que des preuves supplémentaires soient présentées, il est essentiel que ces allégations soient traitées avec prudence et soumises à un examen minutieux. La vérité derrière ces affirmations pourrait avoir des implications majeures non seulement pour la réputation de Poutine, mais aussi pour la stabilité politique et la sécurité internationale.

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