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Félix Tshisekedi : « Ce qui s’est passé au Tchad est un assassinat »



A l’issue du sommet sur le financement des économies africaines, le président de l’Union africaine Félix Tshisekedi s’est exprimé sur la situation au Tchad. Il a donné son point de vue sur la crise qui secoue le pays.

Félix Tshisekedi, est revenu mardi, sur la crise tchadienne, lors du sommet sur le financement des économies africaines tenu à paris. Dans sa déclaration, il a clairement signifié que ce qui s’est passé au Tchad n’est pas un coup d’Etat, mais un assassinat d’un chef d’Etat. « Ce qui s’est passé au Tchad n’est pas un coup d’État, c’est un assassinat d’un chef d’État », a-t-il indiqué.

Et d’ajouter : « À sa disparition brutale, cela ne peut qu’entraîner certaines déconvenues. Heureusement que la reprise en main a été rapide. Dans une situation pareille , il vaut mieux une reprise en main musclée. Mais cela ne veut pas dire que le gouvernement actuel ou le Conseil militaire de transition a un blanc-seing de l’Union africaine et de la communauté internationale tout entière ».

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Dans ses propos, le président a aussi justifié le choix de l’Union africaine de ne pas sanctionner le Tchad. « Nous avons compris la situation qui était précaire. Il ne faut pas oublier que le Tchad est menacé par des hordes de rebelles et quelque part aussi par des menaces terroristes. Le décès brutal du Maréchal du Tchad aurait pu donner l’occasion à ces individus de chercher à déstabiliser ce pays en essayant de reprendre la main. Il fallait une réponse militaire, elle a été donnée. Maintenant, ça ne veut pas dire que les droits et libertés doivent être passés par pertes et profits ».

« Il faut absolument que le pouvoir actuel, le Conseil militaire de transition, fasse régner l’ordre mais également continue à faire respecter les droits et libertés, et surtout le plus important c’est qu’il observe cette période de 18 mois de transition au cours de laquelle nous souhaitons d’ailleurs qu’il y ait une inclusivité, c’est-à-dire que toutes les forces politiques et au-delà même qui en émettent le vœu, puissent être représentées dans ce gouvernement. C’est très important parce qu’à ce moment-là, il y a une sorte d’union nationale, une sorte d’accord pour aller ensemble vers les élections. Après 18 mois, lorsque les élections auront eu lieu, je crois que le pays va s’inscrire dans un début de stabilité à long terme », a laissé entendre M. Félix qui a pris soin de souligner  que, la période de transition ne doit pas entraîner des privations des droits et libertés.

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