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Tout savoir sur la Russie à la Coupe du monde 2018 de football



  • Calendrier

14 juin : Russie-Arabie saoudite (17 heures à Moscou)

19 juin : Russie-Egypte (20 heures à Saint-Pétersbourg)

25 juin : Russie-Uruguay (16 heures à Samara)

Heure française

  • Historique en Coupe du monde

Comme cela serait faire offense aux Géorgiens, aux Ukrainiens, aux Arméniens, aux Biélorusses et j’en passe qui ont grandement participé aux sélections soviétiques, nous commençons l’historique en 1994. Cela donne donc, trois participations, trois éliminations au premier tour.

  • Leur petit nom

Сборная, que l’on transcrit ainsi Sbornaya, qui signifie tout simplement l’équipe nationale.

  • L’équipe qui devrait jouer

Akinfeïev-Vasin, Dzhikiya, Kudryashov-Zhirkov, Kuzyaev, Dzagoev, Golovin-Smolov, Poloz, Samedov

  • Le sélectionneur

Stanislav Cherchesov, 54 ans, ancien gardien de but de l’URSS, de l’éphémère CEI et de la Russie, il a été champion de Pologne en 2016 avec le Legia Varsovie avant d’être nommé sélectionneur de la Russie dans la foulée.

Bilan de compétences

Pourquoi postulez-vous à cette Coupe du monde ? « Je n’ai pas du tout envie de rejoindre l’Afrique du Sud en tant que seul pays organisateur à n’avoir pas franchi le premier tour. Et cela tombe bien, car je veux absolument découvrir la joie d’un huitième de finale de Coupe du monde. »

De quelle expérience pouvez-vous vous prévaloir ? « En huit grandes compétitions (3 Mondiaux et 5 championnats d’Europe des nations), je n’ai réussi un bon parcours qu’une seule fois : c’était en 2008 lorsque j’avais atteint les demies en Suisse et en Autriche. Sinon, je n’ai perdu que 3-0 contre le Brésil et 3-1 contre la France en matchs amicaux, mais pas sûr que cela compte. »

Si vous deviez vous donner trois qualités ? « J’ai une jeune génération de très bons joueurs offensifs à l’image d’Aleksandr Golovin (21 ans) et des jumeaux Miranchuk, Aleksei et Anton (22 ans). Mon gardien et capitaine Igor Akinfeïev est une valeur sûre à plus de 100 sélections. Et je vais bénéficier bien entendu du soutien du public. »

Et trois défauts ? « J’ai été incapable de franchir le premier tour de la Coupe des Confédérations l’an passé à domicile. Je ne suis que 66e au classement FIFA, seule l’Arabie saoudite (70e) fait pire chez les Mondialistes. Je n’ai gagné que 3 de mes quatorze derniers matchs. »

Igor Akinfeïev en cinq dates

1986 : le 7 avril, le mathématicien et économiste Leonid Kantorovitch, seul chercheur soviétique à avoir reçu le prix Nobel d’économie, décède. Le lendemain, Igor Akinfeïev voit le jour à Vidnoïe, tout près de Moscou.

1993 : le petit Igor entre au CSKA Moscou, son club de toujours. Il a la chance d’être entraîné par le grand Rinat Dasaev, meilleur gardien soviétique après Lev Yachine.

2003 : à 17 ans, il remporte en tant que titulaire le premier de ses sept titres de champion de Russie.

2005 : avec le CSKA Moscou, il remporte la Coupe UEFA, une première victoire européenne pour un club russe. Le Zenith Saint-Pétersbourg imitera son rival trois ans plus tard.

2008 : il mène la sélection russe en demi-finale de l’Euro 2008. L’Espagne, futur champion d’Europe, élimine la Russie.

Figurez-vous Arsène

que le défenseur Roman Neustädter compte deux sélections avec la… Mannschaft. Mère russe, père né au Kirghizistan, d’origine allemande et ayant joué pour le Kazakhstan en tant que gardien de but, il aurait pu défendre les couleurs de cinq sélections différentes, grâce à ce melting-pot : l’Ukraine, le Kazakhstan, l’Allemagne, le Kirghizistan et la Russie. C’est en 2016, en participant à sa première compétition officielle, qu’il a définitivement opté pour l’équipe russe.

Le jour où…

Oleg Salenko a inscrit 5 buts dans un match de Coupe du monde. Le 28 juin 1994, la Russie, déjà éliminée, affronte le Cameroun pour son troisième match de Coupe du monde aux Etats-Unis. Et comme les Lions indomptables sont, eux aussi, quasiment éliminés, l’enjeu sportif n’est a priori pas des plus excitants. Pourtant, les 74 000 spectateurs du Stanford Stadium de Palo Alto vont assister à une rencontre mémorable par la grâce d’un homme.

Oleg Salenko a 25 ans, évolue à Logrones en Espagne et n’a rien d’un foudre de guerre. Il va néanmoins réussir un exploit jamais réalisé jusqu’alors et toujours inégalé : inscrire un quintuplé dans le même match de Coupe du monde. Il enchaîne les réalisations à la 15e, 41e, 44e, 72e et 75e. La Russie s’impose 6-1. Il ne le sait pas encore mais, à cause d’un différent avec l’entraîneur et d’une carrière déclinante, il s’agit de son dernier match avec la sélection.

« C’est la magie de la Coupe du monde. Toute la planète a les yeux rivés sur vous. Une performance spectaculaire reste à jamais gravée dans la mémoire collective », confie-t-il au magazine FourFourTwo quelques années plus tard.

Big data

27,77. C’est une donnée inquiétante pour la Russie. Il s’agit du pourcentage de victoires du nouveau sélectionneur, Stanislav Cherchesov, depuis son intronisation en 2016 : cinq victoires, cinq nuls et huit défaites.

Le Wiki de qui ?

Sa longévité est impressionnante, vingt ans au plus haut niveau, plus de 500 matchs avec le CSKA Moscou, 118 sélections en équipe de Russie, dont il est retraité depuis 2016. Ce défenseur central de 38 ans est un monument du foot russe.

Plateau télé

On commence évidemment par des « zakouski », les petites entrées comme les cornichons salés, le « masliata » (champignons marinés), le « skumbria » (maquereau salé) ou une salade « seliodka pod chouboy » (hareng sous son manteau). Et puis pourquoi ne pas s’offrir une petite soupe estivale, froide, l’« okrochka » (concombre, aneth, petit pois, lait fermenté…). Pour finir sur une note gourmande, la variante sucrée des blinis, les « blintchikis », sorte de pancakes à la russe, que l’on peut garnir de confiture ou de chocolat. Enfin, au lieu de la très attendue vodka, arroser ces mets avec du « champanskoye », le vin effervescent local, inspiré du champagne français.

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