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Togo : voici exactement pourquoi Brigitte Adjamagbo et Gérard Djossou ont été arrêtés



24 h après l’arrestation de Gerard Djossou, le chargé des Questions du Droit de l’Homme au sein de la DMK, un regroupement de partis de l’opposition togolais ayant porté la candidature de l’ancien Premier ministre Agbéyomé Kodjo aux élections de février 2020 c’est au tour de la Secrétaire Générale de la CDPA (Convention Démocratique des Peuples Africains), et Coordinatrice de la DMK Brigitte Kafui Adjamagbo de se faire interpeller le 28 novembre 2020 en début de soirée à Lomé. Le Procureur de la République Essolissam Poyodi donne des précisions sur ces deux arrestations.

« Dans le cadre de cette enquête, le sieur Djossou Dodji Yaovi Gerard, président de la commission des affaires sociales en charge des droits de l’homme au sein de la DMK a été interpellé dans la soirée du vendredi 27 novembre 2020 à Lomé par des éléments de la police judiciaire », a laissé entendre le procureur de la République dans un communiqué lu samedi soir après l’arrestation de Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson. « Il a été procédé immédiatement à une perquisition à son domicile. Celle-ci a permis la découverte et la saisie des documents compromettants intéressants enquête », ajoute le procureur Essolissam Poyodi.

Selon le procureur, ces documents « révèlent la projection des actions violentes visant à porter atteinte à la sécurité intérieure de l’Etat » et « qui devraient être mises en œuvre à partir des manifestations publiques prévues pour la journée du samedi 28 novembre 2020. »

Le procureur dans son communiqué précise également que l’enquête « révèle que madame Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson, coordinatrice de la DMK était en possession d’autres documents en lien avec le plan de déstabilisation du pays projeté, son interpellation dans l’après-midi de ce samedi 28 novembre 2020 a été rendue nécessaire » avant de conclure que l’opposante « déjà l’objet d’une procédure judiciaire portant sur des faits similaires et placée sous contrôle judiciaire  et que l’enquête judiciaire se déroule dans le « strict respect du principe de la présomption d’innocence et des règles procédurales ».

 

 

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