En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Découvrez nos offres pour annonceurs - Publicité 4 Publicité 4 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Visitez 3Vision Group - Publicité 3 Publicité 3 banner Publicité 3

Togo : Les homosexuels et consorts ont peur de subir toute forme de violence



Le Togo ne compte pas reconnaître l’homosexualité. Depuis la semaine dernière, l’information a fait le tour de la toile et provoqué du tollé. La communauté Lesbiennes, Gays, Bisexuels et Transgenres et Queer (LGBTQ+) n’a pas droit de cité dans une certaine mesure. La raison est simple : les valeurs du pays ne le permettent pas. 

« Pour ce qui concerne les relations sexuelles entre adultes consentants du même sexe, le Togo n’envisage pas d’abroger les dispositions qui les criminalisent. Car cette orientation sexuelle n’est pas en adéquation avec les valeurs sociales togolaises », a déclaré le ministre Christian Trimua devant la Présidente du Comité des droits de l’Homme des Nations Unies, Mme Elisabeth TICHY-FISSLBERGER.

A se fier à une enquête réalisée en octobre 2014 par le Centre Afro-baromètre, neuf (9) Togolais sur 10 déclarent ne pas souhaiter avoir des homosexuels dans leur voisinage, la plupart à cause des raisons de moralité ou encore de religion. 

D’ailleurs, le code pénal togolais punit d’une peine d’emprisonnement d’un à trois ans et d’une amende de 1 000 000 à 3 000 000 francs CFA. En son article 393, l’homosexualité comme « tout acte impudique ou contre nature commis avec un individu du même sexe que soi ». 

« Avec la déclaration du gouvernement refusant de reconnaître la minorité sexuelle au Togo, ne sommes-nous pas jetés désormais en pâturage ? », c’est la grande question que se pose la communauté LGBTQ+. 

« Les violences et abus dont sont victimes les personnes LGBTQ au Togo ne datent pas d’aujourd’hui. Très peu arrive à le dénoncer de peur d’être discriminé, en 2020 notre ONG a documenté une quarantaine. Ce refus du gouvernement vient légitimer les actes homophobes (arrestations arbitraires, chantages, extorsion, toute forme de violences physiques, morales, financières), ce qui impactera négativement sur les programmes nationaux de prises en charge de ces populations sur le plan de santé publique» s’est lamenté Monsieur Gerson (Nom preté).

Avec l’opinion.tg

Rejoignez DOINGBUZZ PREMIUM

Découvrez un monde de contenus exclusifs et d'opportunités.

Accédez Maintenant

Lancez-vous dans une nouvelle aventure avec DoingBuzz

Découvrez une multitude d'offres d'emploi et de bourses d'études adaptées à votre parcours.

doingbuzz DIRECT

Newsletter

Abonnez-vous et accédez à tous nos articles en premier !