Les USA ont frappé le 02 Janvier par une attaque nocturne contre l’Iran et tué le général Qassem Soleimani, commandant de la Force Al–Qods du Corps des Gardiens de la révolution islamique et l’une des figures les plus puissantes de la république islamique.

La mort de ce général a complètement ouvert la voix au conflit pouvant conduire les deux protagonistes (les USA et l’Iran) à une guerre que certains pays qualifient l’éventuelle troisième Guerre mondiale. A cet effet ils s’appellent les deux pays à la retenue.

Comme la France, l’Angleterre et l’Allemagne, l’Afrique du Sud a également appelé les deux ennemis au calme par la voix de son ministre des Relations internationales, Naledi Pandor, pour dire toute la concerne des pays africains, dans le déclenchement d’un conflit au Moyen-Orient qui pouvait avoir des répercussions insoupçonnées sur la paix et la sécurité mondiale.

Selon la ministre sud-africaine, «Il est essentiel que toutes les parties restent calmes et renoncent à prendre toute autre mesure qui aggraverait la situation déjà fragile ».

Face à cette attitude  très va-t’en guerre qu’avait adoptée le président américain dans sa gestion de la crise avec l’Iran, des dirigeants africains ont eux aussi haussé de la voix et dit leur inquiétude quant à la situation au Moyen-Orient.

Une attaque aérienne américaine frappait la république islamique en plein cœur de son dispositif militaire, jeudi dernier,  et il y avait fort à parier qu’un tel acte ne  resterait sans riposte de Téhéran.