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Syndicat : l’opposant camerounais Cabral Libii donne son avis



Ce concept de syndicat intéresse tous les acteurs de la société civile en Afrique. Au Cameroun où l’affaire bat son plein sur les réseaux sociaux, le politicien Cabral Libii a tenu à donner son point de vue. Il a clairement fait savoir qu’il ne fait pas partie du mouvement créé par le rappeur ivoirien Suspect 95.

Le syndicat, c’est une affaire considérée comme une blague, mais qui prend une tournure vraiment sérieuse. Le buzz que crée ce concept ne laisse pas indifférentes certaines personnalités éminentes de l’Afrique occidentale. L’opposant politique Cabral Libii a réagi par rapport à cette affaire qui meut la toile depuis quelque temps. Invité de l’émission L’Arène sur Canal 2 International le 20 décembre 2020, le leader du PCRN a donné son point de vue sur la loi du syndicat virtuelle qui fixe le transport des filles à 2000 F CFA.

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L’opposant politique a fait savoir publiquement qu’il ne fait pas partie du syndicat et qu’il ne compte pas appliquer sa loi contestée par la gent féminine qui constitue l’Anti-syndicat. Pour Cabral Libii, il serait difficile pour lui de remettre 2000 F CFA à son épouse comme transport après un rendez-vous, car l’amour qui les unit «n’a pas de prix». En plus l’homme est censé prendre soin de sa femme selon la bible. Toutefois, le député a révélé qu’il peut éventuellement « dépanner» une dame avec cette somme.

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« Je ne suis pas membre du syndicat, je suis marié à une très belle femme, et cet amour n’a pas de prix. Mais je pourrai effectivement donner 2000 à une dame pour la dépanner », a déclaré Cabral Libii qui se veut apparemment neutre dans ce débat qui affole la toile. Il est le deuxième acteur politique qui intervient pour se prononcer sur ce sujet après le député togolais Gerry <span id= »30″ class= »s-rg-t »>Taama. L’élu du peuple togolais sur sa page Facebook a taclé le mouvement syndicale de Suspect 95 prenant ainsi position.

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