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Soldats ivoiriens détenus au Mali : Abidjan dénonce « une prise d’otage »



Une source anonyme proche de la présidence ivoirienne a porté le 11 juillet une accusation contre la junte malienne. Cette accusation faisait suite à la demande publique du colonel Goita la veille d’extrader des personnalités politiques de Côte d’Ivoire.

La Côte d’Ivoire estime que ses 46 soldats retenus captifs au Mali depuis deux mois sont des otages. Cette conviction vient des déclarations de la junte au pouvoir à Bamako selon lesquelles leur libération dépend de l’extradition de personnalités politiques vivant à Abidjan.

Une source proche de la présidence ivoirienne a déclaré à l’AFP le 11 septembre que la prise d’otages ne resterait pas impunie. Ils ont ajouté qu’ils préféraient une solution diplomatique et espéraient que les putschistes maliens changeraient d’avis, a indiqué la source. Ils ont ajouté qu’ils pensaient qu’un scénario du pire devait être évité et que le marché inacceptable devait être traité avec diplomatie.

Selon la source, une réunion extraordinaire de la Communauté des États de l’Afrique de l’Ouest – également connue sous le nom de CEDEAO – se tiendra la semaine prochaine dans le cadre de l’Assemblée générale des Nations Unies. Lors de la réunion, les participants sont censés discuter du sujet

. Elle a prédit que la CEDEAO devrait imposer des sanctions si rien n’était réglé par la voie diplomatique d’ici là. La Côte d’Ivoire était visée par les accusations du colonel Goïta. Parce qu’ils étaient accusés d’être des mercenaires, 49 militaires ivoiriens ont été arrêtés au Mali le 10 juillet. Ils ont été emprisonnés quelques mois plus tard pour avoir tenté de porter atteinte à la sécurité extérieure du pays. Abidjan affirme que les soldats travaillaient sur une mission de l’ONU dans le cadre du soutien logistique à la Mission des Nations Unies au Mali, ou Minusma.

Ils exigent la libération des soldats. La Côte d’Ivoire a décrit la libération par le Mali de trois femmes soldats sur 49 comme un signe positif. Ils ont qualifié cela de « geste humanitaire ». Le colonel Assimi Goita, chef de la junte au pouvoir à Bamako, a confirmé que les discussions sur les soldats ivoiriens incluaient l’extradition de personnalités maliennes. Il a qualifié cela de «compensation» nécessaire. Le colonel Goita a déclaré que la Côte d’Ivoire servait de refuge à certains Maliens faisant l’objet de mandats internationaux.

Ces gens, a poursuivi le colonel Goita, utilisent la Côte d’Ivoire comme un moyen de déstabiliser le Mali. Le fils de Karim Keita, Karim, et le ministre TIéman Hubert Coulibaly étaient tous deux cités par le nom de l’ancien président. Ibrahim Boubacar Keita a été renversé par les colonels en 2020, et son fils évoque TIéman et Karim comme preuve que sa famille était visée. Plusieurs processus de médiation sont en cours La semaine consistait en un résumé. France 24 vous a proposé de revenir sur l’actualité qui a marqué la semaine.

Les efforts du président togolais Faure Gnassingbé et des chefs religieux maliens ont entamé une médiation pour la libération des 46 soldats toujours détenus comme prisonniers.

L’ONU s’est adressée au gouvernement malien dans une note reconnaissant certains dysfonctionnements et notant que certaines mesures n’ont pas été prises. La Côte d’Ivoire s’est engagée à suivre les procédures des Nations Unies ainsi que toutes les nouvelles règles et dispositions édictées par le Mali concernant les forces militaires.

Depuis 2012, le Mali souffre de crises sécuritaires et politiques constantes. En 2020, des assaillants djihadistes ont plongé ce pays d’Afrique de l’Ouest dans une profonde crise sécuritaire et politique. Les colonels dirigeants ont pris avec force le poste de chef dans ce pays la même année.

Bamako accuse Abidjan — son voisin ivoirien — d’encourager d’autres partenaires ouest-africains à sanctionner les soldats maliens. Ces sanctions ont finalement été levées en juillet de la même année. L’AFP est une agence de presse qui rend compte de l’actualité mondiale.

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