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Situation critique du Sénégal : Guy Marius et Cie vont encore investir la rue



Pour dénoncer l’accaparement des terres, le licenciement abusif d’employés, la volonté du « gouvernement néocolonial » de museler les victimes de ces problèmes et la reprise du « Barça walla barsakh » entre autres, le Front pour une révolution anti-impérialiste populaire et panafricaine (Frapp) sera dans la rue le 7 novembre prochain.

Après avoir énuméré plusieurs maux dont souffrent les Sénégalais, le mouvement contestataire Frapp invite tous les citoyens à participer à la marche du front multi-lutte «doyna » qui aura lieu le samedi 07 novembre à partir de 15 heures à la place de l’obélisque.

En effet, pour Guy Marius Sagna et Cie « l’essentiel n’est pas un remaniement ministériel politicien et un élargissement du « paaco » national à d’autres partis politiques qui se réclamaient de l’opposition. L’urgence est dans la réduction du train de vie de l’Etat avec notamment la suppression du Cese, du Hcct, du Cndt et du Hcds ».

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L’urgence pour le Frapp « est dans la prise de mesures immédiates pour faire face à la crise économique et sociale qui frappe le peuple sénégalais » et qui est la conséquence «des options politiques du Président Macky Sall qui envoient notre jeunesse à l’émigration irrégulière ».

Aussi, le Frapp « dénonce l’irresponsabilité du Président Macky Sall qui avait dit au peuple, avec quelque cas de coronavirus, que « l’heure était grave » mais qui garde un silence méprisant devant les centaines de jeunes que ses politiques ont condamné à mort dans l’océan atlantique ou dans le désert du Sahara quand ils ne sont pas recrutés par les groupes terroristes ».

C’est pourquoi, « l’heure n’est pas à la relance d’un système néocolonial mis à nu par le coronavirus. Il ne s’agit pas de « relancer » le moteur d’une machine qui produit la dépendance sanitaire et pharmaceutique, la dépendance alimentaire, monétaire et budgétaire avec comme conséquences le pillage de nos ressources halieutiques, minières. L’heure est aussi à l’arrêt du « paaco » et du « tong-tong » national dirigés par la bourgeoisie bureaucratique du président Macky Sall », selon le Frapp qui exprime «sa grande inquiétude sur les questions de la 3e candidature et de la manipulation des sentiments ethniques au Sénégal, en Guinée, en Côte d’Ivoire ».

Guy Marius Sagna et ses camarades appellent « le Président Macky Sall, son parti et sa coalition, ainsi que les différents acteurs politiques de la Guinée et de la Côte d’Ivoire, à la responsabilité. La manipulation des sentiments religieux et ethniques dans le Sénégal, la Guinée et la Côte d’Ivoire multi-ethniques, multi-religieux et multi-confrériques est irresponsable et criminelle. Le Frapp invite tous les démocrates ouest-africains-sans se couper des luttes quotidiennes des populations-à barrer la route collectivement aux projets de 3e candidature », renseigne-t-ils dans un communiqué.

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