La sextape de Clinton Njié dévoilée ce jour continue de faire la une des de la presse camerounaise et mondiale. Si la vidéo a suscité de multiples réactions, nombreux sont ceux à essayer de comprendre ce qui s’est réellement passé. Nous avons réuni les informations pour vous.

« Ce samedi une vidéo a commencé à circuler sur Whatsapp. On pensé d’abord que c’était un montage mais c’est vraiment Clinton Njié. Qu’est ce qu’il a fait ?« . C’est avec ces commentaires que notre source Amadou* nous partage la sextape de Clinton Njié, l’ancien joueur de Marseille. Depuis, la vidéo a été authentifiée, partagée sur les sites adultes et les réseaux sociaux. Le terme « Clinton Njié » est d’ailleurs devenu une des tendances sur Twitter en France et au Cameroun. Cependant, nombreux essayent de comprendre les circonstances dans lesquelles la vidéo a été tournée.

« Un contrat assez juteux, une fête trop arrosée et une erreur de manipulation »

La vidéo a été dévoilée en premier sur le compte Snapchat officiel du joueur. Suivi par des milliers de personnes, Clinton Njié n’a pas pu éviter le pire. Les fans du natif de Buéa ont rapidement téléchargé la vidéo et l’ont partagée avec leur entourage. Une habitude chez les internautes friands de buzz et de faits divers. La question est de savoir pourquoi le joueur a diffusé ce contenu sur son profil personnel. Selon les dires de son entourage, Clinton Njié célèbrait ce soir le contrat juteux signé avec le club du dynamo Mouscou. L’alcool a donc coulé à flot et l’ancien Joker de l’Olympique de Marseille avait visiblement pris le litre de trop.

Par suite, le joueur essayait d’enregistrer la vidéo dans sa galerie mais il l’a malencontreusement partagée avec ses followers. Le lion indomptable ne s’en est pas rendu compte tout de suite et a continué ses échanges avec sa compagne d’un soir. La vidéo est donc rapidement devenue virale et apporte une véritable tâche à la carrière du joueur. Espérons qu’il trouvera assez de ressources pour bien démarrer la saison et que les répercussions seront mineures.

Crédit: https://www.lebledparle.com