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Sénégal : l’ONU impose la légalisation de l’homosexualité



Le Sénégal est-il en voie de légaliser le mariage civil homosexuel ?  C’est en tout cas ce que demande l’Organisation des Nations Unies.

Ils sont plus d’une vingtaine de pays à déjà rendre légal le mariage homosexuel. En language juridique, il est désigné par « mariage civil »  ouvert aux « personnes de même sexe ». Parmi ces pays déjà inscrits sur la liste, on peut retrouver l’Afrique du Sud, la France, les États-Unis d’Amérique, l’Uruguay, l’Espagne, les Pays-Bas, la Finlande pour ne citer que ceux-là.

La liste est loin de se clôturer. Un rapport de l’ONU demande expressément au gouvernement sénégalais la légalisation de l’homosexualité. En effet, au point 15 du dit rapport, il est tout simplement demandé au gouvernement de Macky Sall de rendre légal l’homosexualité. Cela a été exprimé en ces termes : « L’État partie [le Sénégal] devrait prendre des mesures concrètes et urgentes pour s’attaquer à la campagne actuelle d’appel à la haine contre les personnes du fait de leur orientation sexuelle et des personnes qui défendent leurs droits y compris les organisations partenaires engagées dans la lutte contre le Vih-Sida ».

Qu’en sera-t-il des dispositions légales en amont prises par l’État sénégalais, portant sur les pénalités à l’endroit des personnes âgées consentants à un mariage de même sexe. Selon le même rapport, l’État partie (le Sénégal) doit aussi “abroger l’article 319.3 du code pénal qui criminalise les actes sexuels entre personnes adultes consentantes de même sexe, en vue de réduire la stigmatisation des personnes concernées”.

Par ailleurs, les experts des Nations-unies ont fait cas des sanctions pénales prédisposées par rapport aux avortements. Au point 23 du rapport, il a été demandé d’envisager de supprimer les sanctions pénales contre les femmes qui recourent à l’avortement et aux prestataires de soins médicaux qui leur apportent une assistance, car de telles mesures poussent les femmes à recourir à un avortement non médicalisé qui peut porter atteinte à leur vie ou à leur santé”.

Pour l’heure, la position prise par le pays de Macky Sall se fait savoir à travers une suggestion d’un diplomate très proche du dossier qui dit, “Le Sénégal fait partie des pays les plus avancés en matière de promotion et de protection des droits de l’homme. Il continuera à adapter sa législation en fonction des besoins et aspirations de sa population et tenant compte de ses valeurs. Il appartiendra donc à l’État de faire face fermement mais diplomatiquement, comme à son habitude, en attendant le prochain passage du Sénégal devant le Comité, au cours de l’année 2027″ .

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