Rema, après une année de succès mondial, a consacré son statut de superstar lors d’un spectacle mémorable à guichets fermés à l’O2 Arena. Sa performance énergique a captivé les spectateurs, mettant en lumière son impressionnant catalogue de singles à succès.

Cependant, l’éclat de la soirée a été éclipsé par le choix inattendu de l’entrée du jeune artiste, déclenchant des allégations de satanisme. Descendant sur scène à dos de cheval orné de rouge et de noir, vêtu d’une cape noire fluide et d’un masque rouge inspiré de la légendaire reine Idia du Bénin, Rema a captivé l’auditoire avec son esthétique saisissante.

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La performance électrisante de Rema à l’O2 Arena suscite des allégations de satanisme

Pour sa deuxième entrée, l’artiste a opté pour un équipement militaire futuriste rouge et noir, faisant son apparition sur scène sur le dos d’une grande chauve-souris aux yeux écarlates. Cette scénographie a déclenché des réactions, certains spectateurs percevant des éléments de satanisme dans ces choix artistiques.

Une vidéo d’une fan, enregistrée pendant le concert, a émergé sur les réseaux sociaux. Dans celle-ci, elle encourage les autres spectateurs à prier à leur retour à la maison en raison des éléments de diabolisme qu’elle estime présents lors du spectacle.

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Ce n’est pas la première fois que l’artiste nigérian est confronté à de telles allégations. Sa chaîne représentant une église en feu a précédemment suscité des réactions du public et a même incité l’Église orthodoxe éthiopienne à rédiger une pétition contre sa venue dans le pays.

Le choix artistique de Rema, bien que captivant sur scène, soulève des questions sur la frontière entre l’esthétique artistique et les interprétations subjectives du public, créant ainsi une toile de controverses qui persiste dans la carrière florissante de la superstar.