S3xualité : voici 04 conséquences du manque de sexe sur l’humeur et la santé

Nous évoquons un sujet assez épineux. S’il est vrai qu’on parle, à tout bout de champs, des bienfaits du coït sexuel sur l’organisme ; ce n’est pas le cas pour le manque de plaisirs libidineux. Nous voulons sans doute aborder les désavantages et les conséquences de l’absence de sexe à long terme.

Est-il toujours bénéfique que l’on s’abstienne trop longtemps ? Le manque de sexe est-il vraiment néfaste pour la santé ? Vous aurez les réponses à ces questions dans la suite de cet article.

Nous vous énumérons 04 effets de la privation du plaisir sexuel, sur une trop longue période.

1. LA TRISTESSE

Eh bien, le manque de sexe a des répercussions sur l’humeur, surtout chez la gent féminine. Le comportement des femmes est le plus affecté par l’absence de rapports sexuels sur une longue période.

Cette mélancolie se justifie par la baisse de l’estime de soie chez les femmes, causée par la mauvaise impression qu’elles ont de leurs physiques. Les dames de ce fait se voient moins belles et séduisantes.

D’après une étude américaine rendue publique en 2012, le sp3erme procurerait de la joie. Pour cela, les femmes qui ont souvent des rapports sexuels non-protégés sont susceptibles d’être de bonne humeur qu’à l’accoutumée.

Selon les informations ; la mélatonine, la sérotonine et la thyrotropine sont des antidépresseurs contenus dans le sp3rme. Ce sont les substances à l’origine de la joie.

Mais, il faut savoir qu’il est encore mieux de se protéger pendant les rapports sexuels, afin d’éviter des IST ou encore des grossesses non désirées.

2. DES RHUMES RÉPÉTITIFS

Ne pas avoir du sexe durant un long moment, cause aussi des rhumes à n’en point finir. Les effets du sexe sont thérapeutiques pour le corps. Le faire à suffisance vous permettrait d’être plus en bonne forme. Les ébats renforcent le système immunitaire.

D’après une étude menée par les chercheurs de l’université Wilkes-Barre aux Etats-Unis, ceux qui font l’amour au moins deux fois par semaine, ont un taux d’immunoglobuline à 30%. Ce qui est nettement supérieur à celui des personnes qui font moins de rapports sexuels.

En gros, il ressort que les ébats s3xuels aident notre corps à se défendre contre les invasions microbiennes et bactériennes extérieures.

D’aucuns ont dit à ce propos « la galipette hebdomadaire, c’est le secret immunitaire ! »

3. PROBLÈME D’ÉRECTION

Ce que les hommes redoutent le plus et ce que les femmes détestent souvent. Les dames sont intransigeantes là-dessus. Allumer le feu de la passion en elle et être incapable de l’entretenir, est un acte qui coûte très cher dans les relations de couple.

Il vaut mieux ne pas démarrer les hostilités que d’entamer et ne pas finir. Comme toujours, nos analyses se basent sur des études sérieuses. Le « American Journal of Medicine » a démontré que les hommes qui font moins de rapports sexuels ont peu de chances de bander au moment des « matchs ».

Selon les explications, le pénis est un organe qui a besoin d’entrainement pour conserver sa vitalité et sa vigueur. Aussi, même si l’on arrive à lever le k!k!, il y a de fortes chances qu’on ne soit pas endurant.

4. PROBLÈMES DE PROSTATE

Le manque de galipettes augmente les chances de contracter les maladies de la prostate. C’est un secret de polichinelle. Plusieurs études rendues publiques démontrent que les personnes qui éjaculent fréquemment ont moins de chances d’être affecté par le cancer de la prostate.

Notons que sur ce point, ce ne sont pas les rapports sexuels qui protègent la prostate, mais plutôt l’éjaculation. Dans ce sens, la m@sturbation est moyen efficace selon la science, même si le monde de la religion et de la « spiritualité ne l’approuve pas ». Il existe de nombreux moyens et astuces pour préserver sa prostate… À suivre

Nous osons croire que vous avez pris bonnes notes de ces informations. Pour des suggestions, apports et autres, n’hésitez pas à les mentionner dans les commentaires.