Elle s’appelle Rita, elle a su se cacher sous un lourd silence depuis le trépas de son mari, le géant reggae man Bob Marley. Mais un fait vient faire parler d’elle, la veuve vient d’obtenir la nationalité ghanéenne.

Conformément à l’article 10 de la loi sur la citoyenneté (2000), les autorités du pays de Nana Akufo-Addo ont accepté d’accorder la nationalité ghanéenne à l’épouse de l’icône du reggae. Cela a été un des sujets abordés et qui attirent dans les divers numéros des médias locaux.

Selon les informations, la citoyenneté de la République du Ghana a qualifié Rita Marley au même titre qu’à plusieurs autres personnes selon les précisions apportées dans les colonnes. 126 personnes au total de la diaspora ont bénéficié de cette chaleureuse offre accordée par le Chef d’État ghanéen.

«Le mercredi 27 novembre 2019, j’ai conféré la nationalité ghanéenne à 126 de nos amis et parents de la diaspora africaine, qui vivent avec nous depuis de très nombreuses années.» avait fait annoncé le président de « La Côte d’Or », Akufo-Addo dans un texte écrit à cette occasion.

Pour le chef de l’État ghanéen , l’acte a été motivé par une série d’activités qu’il a initiée en l’honneur de la diaspora.

«Je les ai exhortés à respecter et à respecter les lois du Ghana; vivre conformément aux principes de la Constitution du Ghana; et garder jalousement l’image de notre pays» avait mentionné Akufo-Addo.

Rita Marley qui séjournait depuis 10 ans dans le pays s’était illustrée par ses nombreuses actions en faveur de l’éducation dans le pays. Selon plusieurs médias locaux, sa fondation dénommée Rita Marley, mettrait à la disposition des jeunes des bourses d’études. Elle participe également à la construction et à la rénovation des salles de classe dans ce pays. De par ses actions humanitaires et son sens de la promotion de l’éducation sur le territoire ghanéen, la dame aurait probablement mérité d’être considérée comme native de la « Côte d’Or ».