Thérèse Dion alias dit Maman Dion est née le 20 mars 1927 et morte le 17 janvier 2020. Elle est l’un des neuf enfants d’Achille Tanguay et Antoinette Sergerie originaire de Ste Anne des Monts en Gaspésie au Canada.

Thérèse s’illustre dans les affaires et des médias. En tant qu’est une femme d’affaire, elle a été une animatrice de télévision canadienne.

Mère de la chanteuse Céline Dion, elle est également et de treize autres enfants : Denise, Linda, Louise, Manon, Liette, Pauline, Ghislaine, Claudette, Michel, Paul, Daniel, Clément et Jacques Dion.

La dureté de la vie rend des choses si fortes et contribue au renforcement des calibres cette dame de fer qui s’est éteinte. La preuve, quand elle avait 2 ans, la crise de 1929 frappe durement le Québec. Le gouvernement met à cet effet en place un programme dans lequel il offre des terres gratuites à ceux qui ont le courage de les défricher. Le père de Thérèse Dion se porte volontaire. Au fil du temps, il bâtit ce qui allait devenir le futur village de Saint-Bernard-des-Lacs.

Ce courage qui animait son père devient héréditaire. À l’école, elle était intelligente, curieuse et rêve de sauver le monde. Âgée de seulement 13 ans, elle est forcée d’abandonner l’école sur décision de sa mère qui la veut au foyer.

Cette décision de sa mère ne l’empêchait pas de réaliser ses rêves. Même si son âge avance, la mère de l’Artiste ne baisse pas les bras. Il faut travailler pour pouvoir supporter ses enfants, donc en 1967, elle atteint la quarantaine, mais la responsabilité parentale l’oblige à trouver un emploi. Alors ses derniers enfants notamment Paul et Pauline vont à la maternelle. Mais soudainement elle éprouve des nausées et découvre qu’elle est à nouveau enceinte, de Céline, celle qui deviendra la star mondiale. Cette annonce la plongea dans une dépression qui durera durant toute la grossesse. Mais contre vent et marée, elle a pu résister.

Pas de surprise que Céline Dion est une célébrité de la musique. La musique a toujours fait partie de la famille Dion et, très vite, ils se font un nom dans la municipalité et sont surnommés « la famille musicienne de Charlemagne ». Ils se produisent dans des mariages et des salles paroissiales.

À 46 ans, Thérèse, la mère des enfants continue toujours par chercher. Elle est employée comme vendeuse dans un magasin dont elle devient plus tard la gérante. Elle participe également à la construction d’un centre commercial.

Mais à la même époque, très soucieux de valoriser leur richesse familiale, qui est la musique, son mari et sa fille Claudette ouvrent un bar où les membres de la famille peuvent chanter. Victime de son succès, Thérèse abandonne son travail pour subvenir aux besoins du bar comme cuisinière.

Cette dame de fer a plusieurs cordes sur son arc.