Les récents propos du président russe, Vladimir Poutine, sur les punaises de lit lors d’une réunion télévisée avec la Banque centrale russe et des représentants du gouvernement ont suscité l’attention en France et en Europe. Lors de la réunion, Poutine a évoqué les sanctions imposées à la Russie et a fait allusion à la situation économique tendue du pays.

Parmi les sujets abordés, il a mentionné le problème des punaises de lit qui sévit dans les grandes villes européennes. Le président russe a ironiquement commenté que moins d’importations signifient moins de chances que ces parasites soient exportés vers la Russie depuis les métropoles européennes. Cette remarque fait référence au contrôle accru des importations en Russie dû aux sanctions exigées.

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Le problème des punaises de lit est devenu un sujet de préoccupation majeur en France, en particulier dans les transports publics, les hôpitaux, les écoles et les cinémas. L’opposition française a appelé le gouvernement à élaborer un « plan d’action national » pour lutter contre cette infestation, soulignant que cela impacte négativement l’image internationale du pays, notamment en prévision des Jeux olympiques de Paris en 2024.

La France envisage de présenter un projet de loi à l’Assemblée nationale pour lutter contre ce problème. La situation est également devenue préoccupante en Grèce, où les punaises de lit ont été détectées.

Les commentaires de Poutine mettent en lumière un problème bien réel en Europe et suscitent des réactions et des actions à l’échelle nationale pour contrôler cette infestation préoccupante.

Le président russe, Vladimir Poutine, a qualifié les sanctions occidentales d'"absurdes", faisant référence à la proposition d'interdire l'importation en Russie des tournevis et des aiguilles.

"Mais moins on aura de camelote, mieux ce sera. Cela diminue les chances que des… pic.twitter.com/RW0dgo0zt2

— Nouvelle Aube – Yeni Şafak Français (@nouvelleaubefr) November 2, 2023