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« Pour traiter le Covid-19, tout le monde utilisera la chloroquine », Pr Didier Raoult



Les efforts sont en cours pour trouver un meilleur moyen de lutte contre le nouveau virus qui n’épargne personne sur son passage. Pour Didier Raoult, Professeur chercheur et spécialiste des maladies infectieuses un traitement peu déjà bien exister et qui puisse combattre le coronavirus.

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Blood Sample With Respiratory Coronavirus Positive

 

Joint par LeParisien, le docteur a répondu à quelques questions, donnant une idée sur les progrès qu’il a pu réalise dans ses recherches sur un traitement efficace contre le Covid-19. Convaincu de ce qu’il a pu trouvé, Le Professeur Raoult estime « immoral » d’attendre pour l’administrer. Il affirme d’ailleurs qu’il se « fiche » qu’un essai clinique soit lancé.

« J’estime ne pas avoir le droit en tant que médecin de ne pas utiliser le seul traitement qui ait jusqu’ici fait ses preuves », a-t-il dit. 

L’infectiologue Didier Raoult est absolument convaincu il a trouvé le meilleur traitement pour faire barrière au fléau sanitaire du moment. Il entend ainsi pouvoir traiter les patients atteints du Covid-19. Médecin et expérimenté dans sa profession, le spécialiste des maladies infectieuses tropicales émergentes, estime que l’antipaludéen connu de tous au nom courant de Nivaquine, la chloroquine est actuellement capable d’avoir un effet super-curatif sur les personnes atteintes du coronavirus. 

Selon Didier Raoult qui est Directeur de l’institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection de Marseille (Bouches-du-Rhône), plusieurs patients ont été dépourvus de toute trace du virus après le traitement à la chloroquine qu’il les avait faits suivre. Il affirme qu’après six jours de traitement pendant lesquelles il a administré le médicament à des patients atteints de l’épidémie, seulement 25 % d’entre eux étaient encore porteurs du virus, alors 90 % de ceux qui n’avaient pas reçu ce traitement étaient toujours positifs. 

Son expérience a suscité la curiosité du ministre de la santé, Olivier Véran qui a annoncé samedi 21 mars 2020 que ce traitement allait être expérimenté « à plus large échelle », et ce même si certains confrères du professeur Didier accordent encore peu de crédit aux méthodes et aux résultats soulignés. 

« J’ai demandé à ce que l’étude du professeur Raoult puisse être reproduite […] dans d’autres centres hospitaliers, par d’autres équipes indépendantes. Je suis cela d’extrêmement près », a précisé le ministre de la santé, avant de rappeler que : « Jamais aucun pays au monde n’a accordé une autorisation de traitement sur la base d’une étude comme celle-ci ». Ainsi, le gouvernement reste-t-il prudent, étant donné que les résultats du Professeur Didier Raoult ont été obtenus sur 24 malades uniquement, sans placebo. 

Au micro du journal français, Le Parisien, l’infectiologue estime qu’il est « immoral » de ne pas administrer un traitement aux patients, du moment où cela a déjà été essayer par lui sur des patients qui ont d’ailleurs retrouvé la santé. 

Répondant à la question de savoir s’il trouve important le fait que le gouvernement ait donné autorisation d’un essai clinique de grande échelle pour tester l’effet de la chloroquine sur le coronavirus, le Professeur a révélé que :

« Non, je m’en fiche. Je pense qu’il y a des gens qui vivent sur la Lune et qui comparent les essais thérapeutiques du sida avec une maladie infectieuse émergente. Moi, comme n’importe quel docteur, à partir du moment où l’on a montré qu’un traitement était efficace, je trouve immoral de ne pas l’administrer. C’est aussi simple que ça ». 

D’un autre côté, des médecins appellent à la prudence et sont réservés sur les essais et l’effet de la chloroquine, notamment en l’absence d’études plus poussées. Interrogé sur ce qu’il en pense, le docteur Didier a répondu calmement,

« Comprenez-moi bien : je suis un scientifique et je réfléchis comme un scientifique avec des éléments vérifiables. J’ai produit plus de données en maladies infectieuses que n’importe qui au monde. Je suis un docteur, je vois des malades. J’ai 75 patients hospitalisés, 600 consultations par jour. Donc, les opinions des uns et des autres, si vous saviez comme ça m’est égal. Dans mon équipe, nous sommes des gens pragmatiques, pas des oiseaux de plateau télé ». 

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