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Pour « manquements graves », la RDC rappelle ses ambassadeurs au Japon et à l’ONU



La République Démocratique du Congo RDC procède à une opération de sanction à l’égard de trois ambassadeurs de l’État au Japon et auprès de l’ONU. Ces derniers ont été définitivement rappelés au pays, pour cause de « manquements graves ».

 

En tout cas c’est ce qu’a dévoilé le ministère des affaires étrangères jeudi 12 décembre 2019 dans un entretien accordé à l’AFP. Dans une lettre en date du 4 décembre 2019, la ministre des affaires étrangères Marie Tumba Nzeza a indiqué que le deux diplomates aux Nations unies à New York et à Genève ont été rappelés en raison « d’une procédure disciplinaire engagée à leur encontre ».

 

Et curieusement, cette mesure disciplinaire à l’égard du représentant permanent de la RDC auprès de l’ONU, Ignace Gata Mavita et son collaborateur devant les institutions spécialisées à Genève (Suisse), Zenon Mukongo Ngay est survenue à seulement quelques jours du vote pour le renouvellement du mandat de la mission des Nations unies (MONUSCO), mené par le Conseil de sécurité.

 

Même si le ministère des affaires étrangères n’a pas donné plus de précisions sur le rappel au pays de ses deux collègues congolais devant les nations unies, on en sait un peu plus sur leur troisième, l’autre qui a aussi été rapatrié. De l’autre côté à Tokyo (Japon), l’ambassadeur du Congo démocratique Ramazani Bin Kithima est accusé d’avoir vendu l’immeuble de l’ambassade de son pays sur la terre nipponne.

 

Mais il est curieux de se rendre à l’évidence que ce diplomate qui aurait vendu un « patrimoine » de l’État avait déjà été réprimandé et reçu des mises en garde en début de l’année en cours. Le 28 janvier 2019, le secrétaire général des affaires étrangères lui avait écrit une lettre lui stipulant des avertissements. « Continuez de défier ainsi votre hiérarchie et je puis vous assurer que vous vous exposerez aux plus graves des sanctions ».

 

Cette mise en garde faisait suite à une précédente lettre du 20 décembre 2018 que monsieur l’ambassadeur avait « superbement ignoré ». Selon le courrier qu’a pu se procurer l’AFP, cette précédente lettre lui intimait « l’ordre de ne pas entreprendre toute initiative visant à aliéner une nouvelle fois le patrimoine de la RDC sous peine de graves conséquences ».

 

 

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