En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Découvrez nos offres pour annonceurs - Publicité 4 Publicité 4 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Visitez 3Vision Group - Publicité 3 Publicité 3 banner Publicité 3

Ouattara rejette un 3e mandat: la cinglante réponse de Guillaume Soro au président ivoirien



La réaction de Guillaume Soro à l’annonce d’Alassane Ouattara de ne pas se présenter à l’élection présidentielle prochaine était très attendue. Le président du GPS a finalement fini par faire connaître sa position. Et comme l’on s’y attendait, il s’est insurgé contre les dires et projets du chef de l’Etat ivoirien.

Pour lui, la non candidature de son ancien mentor est un non-événement, il s’agit plutôt de détourner l’attention des citoyens des questions essentielles. « Cette annonce est destinée à séduire l’opinion publique internationale pour obtenir la bienveillante complaisance de celle-ci et surtout à détourner l’attention du peuple des vrais enjeux, à savoir le tripatouillage de notre Constitution pour assoir le règne d’un clan ad vitam eternam. », a dénoncé l’ancien président de l’Assemblée nationale.

« La malice politique qui consiste à capitaliser cette non candidature , ne doit pas faire diversion. Renoncer à violer la constitution est la moindre des choses. Cela n’en rend pas moins condamnable, le dessein présidentiel de transférer le pouvoir à un successeur choisi. C’est le scénario d’une forfaiture qui se met en place. », a-t-il poursuivi.

«Appelons-les choses par leur nom : c’est le scénario d’une véritable forfaiture qui se met en place. Le pouvoir appartient au peuple, c’est indéniable. Ce n’est ni un héritage, ni un legs. Il ne se transfère pas. C’est au seul peuple de Côte d’Ivoire d’élire le président de la République. C’est son droit inaliénable. Le schéma qui se présente à nous est celui d’un projet de dévolution successorale du pouvoir suprême, par le biais d’une manœuvre constitutionnelle».

Pour certains observateurs, dont des proches du pouvoir, l’ancien chef de la rébellion réagit ainsi à cause de la brouille actuel entre les deux hommes. D’autant plus qu’il y a quelques mois, le même Soro reprochait à Ouattara de n’avoir pas tenu sa promesse de faire de lui son successeur à la tête du pays en 2020.

 

 

Rejoignez DOINGBUZZ PREMIUM

Découvrez un monde de contenus exclusifs et d'opportunités.

Accédez Maintenant

Lancez-vous dans une nouvelle aventure avec DoingBuzz

Découvrez une multitude d'offres d'emploi et de bourses d'études adaptées à votre parcours.

doingbuzz DIRECT

Newsletter

Abonnez-vous et accédez à tous nos articles en premier !