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Obama en campagne face à Trump avant les midterms aux États-Unis



 Les démocrates espèrent prendre leur première revanche politique contre Donald Trump mardi lors des élections de mi-mandat. Sans leader depuis la défaite d’Hillary Clinton, de nombreux candidats ont fait appel à Barack Obama dans la campagne.

À deux jours des élections de mi-mandat qui détermineront la majorité au Congrès américain pour les deux prochaines années, Donald Trump et l’ancien président Barack Obama sont en campagne.

Après de nombreuses élections partielles et locales depuis 2016, mardi sera le premier verdict rendu par l’ensemble des Américains sur la présidence de Donald Trump. Les 435 sièges de la Chambre des représentants seront renouvelés pour deux ans, et 35 des 100 sièges du Sénat le seront pour six ans; Chambre et Sénat sont actuellement à majorité républicaine. 36 des 50 gouverneurs (chefs exécutifs des États) seront aussi élus.

« Ces républicains mentent de façon flagrante »

Les démocrates ont fait campagne sur la défense du système de santé réformé sous Barack Obama, mais parient aussi sur le rejet de Donald Trump, qu’ils sont nombreux à qualifier ouvertement de menteur et de catalyseur des violences racistes et antisémites qui ont endeuillé le pays. Ils comptent sur les voix d’électeurs de zones périurbaines et de républicains modérés regrettant leur vote de 2016.

Sans leader naturel depuis la défaite d’Hillary Clinton, c’est Barack Obama qui fut le plus recherché par les candidats démocrates engagés dans les campagnes les plus difficiles.

« Ces républicains mentent de façon flagrante, répétée, audacieuse, éhontée. Ils inventent n’importe quoi », a lancé l’ancien président dimanche 4 novembre dans l’Indiana.

« On n’entend plus vraiment parler de la grande vague bleue »

« Allez voter ! » a lancé le chef républicain soir dans son quatrième meeting du week-end, à Chattanooga, dans le Tennessee. Il en fera trois autres lundi dans trois États du Midwest.

Comme à la fin de sa campagne victorieuse de 2016, Donald Trump a multiplié les déplacements À chaque étape, il a visiblement savouré ses retrouvailles avec ceux qui l’ont porté au pouvoir, qui sont venus par milliers l’écouter, pour des discours durant parfois près d’une heure et demi, avec l’avion présidentiel en arrière-plan régulier des rassemblements organisés dans des aéroports.

« On n’entend plus vraiment parler de la grande vague bleue », a-t-il dit dimanche soir, évoquant le raz de marée démocrate que certains sondages dessinaient il y a quelques mois. « Ils s’en sortiront peut-être bien, qui sait… »

Donald Trump a assumé la tête de la campagne républicaine, s’érigeant comme le garant de la bonne santé économique des Etats-Unis et comme le rempart contre l’immigration clandestine et les « caravanes » de migrants d’Amérique centrale qui traversent actuellement le Mexique vers la frontière américaine.

Historiquement, le parti au pouvoir ressort rarement vainqueur des élections de mi-mandat, à l’exception récente de George W. Bush en 2002, après les attentats du 11-Septembre. Barack Obama et Bill Clinton ont vu leurs adversaires conquérir la Chambre après seulement deux ans de mandat.

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