Sur la route Notsé-tohoun, deux chekpoints constituent un casse-tête pour les usagers de la voie. Les populations paient au niveau de ces deux chekpoints occupés par les soldats. L’un se situe à Djemegni et l’autre se trouve Kossihoe.
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Depuis sa réception, cette route devient de plus en plus praticable et les deux chekpoints collectent de l’argent chez les pauvres populations.
Pendant ce temps, un poste de péage est récemment ouvert sur le voie. La situation pourrait créer des tensions, puisque sur quelques kilomètres, les usagers paient trois fois y compris le poste du péage.
Très préoccupé par cette affaire, qui pourrait créer des vives tensions, un journaliste togolais interpelle les autorités compétentes afin qu’elles puissent trouver de solution à ce problème.
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Commandez Maintenant« J’en ai parlé fatigué. Le jour où les adja vont se lever pour tenter de dégager ces checkpoints qui escroquent les pauvres usagers, on les taxera de sauvages, de violents….chers dirigeants prenez les dispositions avant qu’il ne soit trop tard. Les citoyens de la voie Notsè-Tohoun avec ces deux checkpoints Djemegni et Kossi Agbavihoe en ont jusqu’au cou. C’est un cris d’alerte et d’alarme que je donne ici », a écrit le journaliste Tony Marcel de RTDS
« 200f pour chaque motocycliste à Djemegni, 200f à Kossihoé sur 55 km, c’est quoi ce commerce sur les pauvres paysans sur cette voie. Tout ceci en plus du péage fraîchement ouvert à Djemegni. Arrêtez- Arrêtez – Arrêtez les gens sont à bout de nerfs » ajouté le confrère.
La route Notsé-tohoun désert les villages peuplés par les Adjas, du Haho et du moyen-mono. Ils sont les usagers principaux de la voie.
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