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« Nos pays peuvent bien se passer de toute forme de parrainage » dixit Idris Déby



Idris Déby, un des plus influents hommes politiques d’Afrique et président en exécution au Tchad a fait une déclaration qui n’a pas laissé indifférente la toile informative mondiale.

Samedi 7 décembre 2019 en Italie, le chef de l’État tchadien a estimé que, « si les ressources pérennes nécessaires à l’engagement des troupes sont mobilisées, nos pays peuvent bien se passer de toute forme de parrainage ou des directives, qui conduisent souvent à des complications qu’à des solutions. » On dirait que le chef de l’État avait tant cherché une occasion pareille à celle-ci de l’édition 2019 du Forum du dialogue méditerranéen.

 

Rappelons qu’il y a quelques jours, le président français Emmanuel Macron avait tenu des propos selon lesquels les présidents du sahel devront « clarifier et formaliser leurs demandes à l’égard de la France ».

À l’issue des multiples attaques terroristes qui se font de plus en plus dévastatrices, le leader tchadien a trouvé nécessaire de « revoir l’ensemble de la stratégie de lutte déployée à ce jour contre ce fléau au Sahel, en reconnaissant le leadership des pays concernés à travers un appui conséquent de leurs efforts  multiformes. »

 

Il a continué pour alléger que : « Nos appels à l’endroit de la communauté internationale relatifs à l’obtention d’un financement pérenne à la force du G-5 Sahel sont demeurés sans suite, et les multiples promesses faites ici et là dans le cadre des conférences internationales de mobilisation des fonds, n’ont jamais été tenues ».

 

Idriss Déby pense d’ailleurs que, « lorsque des initiatives sont prises, ici et là, par les différents partenaires du Sahel, sans nous impliquer, cela peut entrainer des situations chaotiques, comme malheureusement  c’est le cas en Libye. »

 

Il n’a pas aussi manqué de préciser que « la bataille contre le terrorisme au Sahel passe forcément par le règlement de la crise libyenne. Le chaos installé et entretenu dans ce pays, a été et demeure la principale source de déstabilisation de l’ensemble du Sahel » , avant de poursuivre : « Nous devons tous, sans calcul, ni agenda, œuvrer en faveur d’un dialogue global et inclusif rassemblant tous les Libyens. Dans cette œuvre collective salutaire, aucun effort n’est de trop ».

 

Il a également rappelé que « la tragédie que vit le peuple frère libyen est inadmissible, et les contrecoups de cette crise que nous subissons en tant que pays voisins, ne sont non plus supportables. »

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