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Nigeria : plus de 100 personnes craignent d’être tuées par des hommes armés



C’est à travers une moto que la mort est arrivée au village d’Abubakar Aliyu. Début avril, des dizaines d’hommes armés ont fait irruption, tirant au hasard et pourchassant les habitants du centre du Nigeria.

Abubakar, 25 ans, et deux compagnons maçons ont survécu au massacre, malgré des blessures par balle.
« J’ai essayé de m’enfuir quand j’ai senti la balle toucher mon œil. Ceux qui bombardaient le bâtiment, l’un d’eux a été touché et est tombé. Un autre a été abattu mais n’est pas mort. Trois d’entre nous sont vivants, un seul est mort parmi nous puis ils ont tué d’autres personnes dans la ville », a déploré auprès de l’AFP le jeune homme, assis sur son lit d’hôpital à Jos, un énorme pansement autour de la tête.

Lorsque les forces de l’ordre sont arrivées, elles ont retrouvé les corps de plus de 100 villageois après les attaques à grande échelle, symbole de la difficulté du pays à enrayer la violence des gangs.
Menées le 10 avril contre quatre villages de l’Etat du Plateau, ces attaques sont les plus meurtrières de cette année et sont attribuées à des gangs criminels lourdement armés, les « bandits » .
« « Vous savez tous que nous avons mené une série d’opérations à grande échelle dans le nord-ouest, en particulier dans l’État de Zamfara et dans l’État de Katsina, tous sous la huitième division de l’armée nigériane, et beaucoup de ces bandits et criminels cherchent un paradis sûr, où ils peuvent se mettre à l’abri et fuir nos attaques », a déclaré le général de division Ibrahim Ali, commandant de la troisième division et de l’opération Safe Haven.
La violence a évolué des affrontements entre éleveurs et agriculteurs au sujet des ressources vers un conflit plus large alimenté par le trafic d’armes.
Everday Killing est devenu un phénomène « normal » avec des enlèvements massifs et des raids par des « bandits » faisant la une des journaux, avec un nombre de morts qui rivalise avec celui de l’insurrection djihadiste dans le nord-est.

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