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Mort de Wattao : Réactions du président Alassane Ouattara



Le colonel major Issiaka Ouattara, plus connu sous le surnom de Wattao, ancien chef de corps de la garde républicaine ivoirienne et figure emblématique de l’ex-rébellion ivoirienne des Forces nouvelles (2002-2011), est décédé dans la nuit de dimanche à lundi aux États-Unis à l’âge de 53 ans.

Il souffrait d’un diabète aigu détecté tardivement.  La mort d’Issiaka Ouattara a été annoncée au petit matin de ce lundi 6 janvier 2020. L’ancien commandant de la Garde Républicaine, transféré aux USA pour des soins, n’a pas survécu au mal qui le rongeait depuis plusieurs mois.

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Né en 1967 à Bouna, dans l’extrême nord-est de la Côte d’Ivoire, Issiaka Ouattara, du haut de son 1.90, s’est fait connaître au grand public pendant la rébellion ivoirienne de 2002, dont il était l’un des piliers militaires aux côtés de celui qu’il appelait affectueusement « frère », Guillaume Soro. Pendant ce conflit, il était le commandant de zone, dit com’zone, de Bouaké, la deuxième ville ivoirienne et l’épicentre de cette rébellion des Forces nouvelles (FN).

Dans l’armée, Wattao occupa d’abord le poste de commandant en second de la garde républicaine, chargé notamment d’assurer la sécurité du président de la République. De nombreux analystes ont vu dans cette nomination le bras de son « frère » Guillaume Soro, alors Premier ministre du président Alassane Outtara. Puis, en 2013, Issiaka Ouattara est nommé commandant adjoint du Centre de coordination des opérations décisionnelles (CCDO), une force mixte de près de 800 hommes chargée de sécuriser Abidjan.

Un an plus tard, il est débarqué et envoyé à l’Académie royale militaire de Meknès, au Maroc. Beaucoup le croyaient alors fini, mis au placard, mais loin de là, Issaka Ouattara avait opéré un lent retour sur le devant de la scène et, malgré sa maladie, il avait été promu colonel major le 18 décembre 2019. Politique, artistes, anonymes, ils sont nombreux à lui rendre hommage.

Très ému, le chef de l’État Alassane Ouattara a fait observer une minute de silence à l’occasion de la présentation des vœux aux forces de sécurité, au palais présidentiel ce 6 janvier. « Ce matin, j’ai eu son épouse. Malheureusement, toutes les dispositions prises par les médecins USA n’ont pas été suffisantes pour le préserver, donc vous pouvez imaginer ma tristesse, car Wattao était un jeune frère », a déclaré le président ivoirien, qui a lui-même affirmé que des obsèques officielles seront organisées en Côte d’Ivoire.

 

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