Des réfugiés rohingyas poursuivent Facebook connu maintenant comme Meta pour son incapacité avouée à empêcher la diffusion de discours haineux qui ont contribué à la violence au Myanmar (Birmanie).

Cette semaine, des cabinets d’avocats des États-Unis et du Royaume-Uni ont lancé une campagne judiciaire contre Meta, la société mère de Facebook (FB), au sujet d’allégations selon lesquelles les dirigeants étaient au courant de l’existence de messages, de groupes et de comptes anti-Rohingya sur le réseau social et n’ont pas fait grand-chose pour les endiguer, ont-ils déclaré dans un communiqué.

Selon un site Web créé pour la campagne, la plainte britannique sera déposée au nom de ceux qui vivent en dehors des États-Unis, tandis que la plainte américaine représentera ceux qui résident aux États-Unis.

Au total, les avocats représentent « les Rohingyas du monde entier, y compris ceux qui vivent dans des camps de réfugiés au Bangladesh », peut-on lire sur le site web. Le cabinet d’avocats américain Edelson a déclaré sur Twitter qu’il avait déposé une proposition de recours collectif contre Meta en Californie.

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