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Bénin : les manifestations « confortent » le pouvoir exécutif, selon le porte-parole du gouvernement



Les manifestations éclatées dans certaines villes du Bénin n’ont pas l’air d’inquiéter le pouvoir en place. Ces mouvements de protestations exigeant la fin du mandat de Patrice Talon, « sont en train de conforter le pouvoir exécutif qui a pris toutes ses responsabilités », a affirmé Alain Orounla (ministre de la communication et porte-parole du gouvernement).

 

Depuis le 06 avril 2021, des citoyens béninois ont décidé de contraindre Patrice Talon à la démission puisque pour eux, son mandat est censé prendre fin ce jour-là. Ils partent de la logique que le chef de l’Etat a officiellement pris les rênes du pays le 06 avril 2016, il faut donc qu’il plie bagage après exactement son mandat de 5 ans.

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Apparemment, cette vague de protestations au cours de laquelle la plupart des jeunes, ont dressé des barricades, brûlé des pneus et détruit des biens publics et privés, arrange le parti au pouvoir. « Aujourd’hui, sous prétexte qu’un mandat serait terminé, certains ignorants sont sortis. Et nous avons démontré que nous sommes un Etat démocratique. Nous n’avons pas dit que tous les Béninois sont avec la gouvernance actuelle », a souligné le ministre Alain Orounla.

 

Le porte-parole du gouvernement avertit : « Quand on est en démocratie, on reconnaît que nos détracteurs puissent avoir des partisans, sans doute payés et nourris pour s’agiter, et donc dans le respect des règles démocratiques, nous tolérons ces petites échauffourées. Mais qu’on ne doit pas laisser perdurer parce que les Béninois doivent aller voter en paix ».

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Avant de poursuivre qu’il « ne faudrait pas que l’exercice d’une liberté vienne troubler la tranquillité de la majorité silencieuse, qui par son silence, démontre son adhésion à la régularité du processus en cours ». Ces vives tensions surgissent à quelques pas de l’élection présidentielle prévue le 11 avril prochain.

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