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Mali : la junte veut une transition de 3 ans



Au mali, le  Comité national pour le salut du peuple (CNSP) veut une transition de 3 ans. Cette transition sera dirigée par un organe présidé par un militaire, qui sera en même temps chef de l’Etat, a-t-on appris.

Au lendemain de la destitution du président  Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), les activistes réuni au sein de CNSP, une institution politico-militaire mise en place le 19 aout  par des militaires ayant participé au coup d’État 2020 au Mali, ont pour ambition de prendre le contrôle des choses.

La junte veut prendre le contrôle du pouvoir. Cette institution qui a réussir à renverser le chef d’État malien a annoncé dans la soirée de  dimanche 23 août une transition de trois (3) ans dirigée par un militaire, et a accepté de libérer le président déchu Ibrahim Boubacar Keïta, qu’elle détient depuis mardi 18.

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« La junte a affirmé qu’elle souhaite faire une transition de trois ans pour revoir les fondements de l’Etat malien. Cette transition sera dirigée par un organe présidé par un militaire, qui sera en même temps chef de l’Etat », a indiqué à l’Agence France Presse (AFP) une source au sein de la délégation de la Communauté des Etats d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), à l’issue du deuxième jour de négociations avec la nouvelle équipe au pouvoir à Bamako.

Selon la même source de la communauté des Etats, la junte a donné son accord pour libérer le président Keïta, qu’elle détient depuis le coup d’Etat de mardi 18 aout.  « Il pourra repartir à son domicile de Bamako. Et s’il souhaite voyager pour des soins, il n’y a pas de problème », a précisé la junte.

Pour rappel, le président Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), avait été contraint d’annoncer sa démission dans la nuit de mardi à mercredi 19 aout 2020 après avoir été arrêté par des militaires.

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