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Mali : Assimi Goïta finalement « reconnu » par la Cedeao comme chef d’Etat



 

Le message de la CEDEAO même si elle n’est pas explicite ne crée pas beaucoup d’amalgame. Elle a accepté malgré ses menaces, le colonel Assimi Goïta comme nouveau président de la transition. Elle ne peut pas grand-chose dans la mesure où la Cour constitutionnelle malienne a reconnu la légitimité du colonel.

Réunis ce dimanche 20 mai, les chefs d’Etat de la Cedeao ont manifesté leur mécontentement face au nouveau coup d’Etat. Pour aller plus loin, ils ont décidé de sanctionner le pays. Ils avaient d’ailleurs invité le colonel pour représenter son pays. Le Mali a ainsi été éjecté des institutions de la Cedeao. Malgré cela, l’institution elle-même accompagne la transition jusqu’à une nouvelle élection. Elle demande aussi de choisir un Premier ministre civil puis un vice-président dans les prochains jours avec un gouvernement inclusif. Aucun des trois personnages au sommet de l’Etat ne doit se présenter à la présidentielle prévue pour 2022.

Alassane Ouattara, le président de la Côte d’Ivoire, Muhammadu Buhari, le président nigérian, ou encore Roch Marc Christian Kaboré du Burkina Faso, ont participé à ce sommet extraordinaire, auquel le colonel Goïta avait également été convié. Il n’a pas participé aux discussions à huis clos.

Dans leur communiqué final, les chefs d’État « exigent la libération immédiate de l’ancien président et du Premier ministre de la Transition qui sont assignés à résidence » depuis leur arrestation le 24 mai par les hommes d’Assimi Goïta. La Cedeao prend acte mais condamne « toutes les actions qui ont conduit à l’instabilité persistante au Mali et ses conséquences dans la région ».

Au-delà de tout, elle est préoccupée par le respect des engagements contenus dans la charte de la transition comme par exemple la tenue des élections le 27 février 2022. On peut y ajouter la nécessité de transmettre le pouvoir aux civils.

La Cedeao demande aussi aux organisations internationales (Union africaine, Nations unies et Union européenne), de « continuer de soutenir le Mali » dans la mise en œuvre de la transition.

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