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Mali / Arrestation du Président et du premier ministre : voici la réaction de l’Onu et de l’Union Africaine



Neuf mois après le coup d’Etat militaire qui a vu le départ de Ibrahim Boubakar Keïta en août 2020, des militaires ont de nouveau mis aux arrêts les nouveaux dirigeants de la transition. A la suite de ces actes que l’Union Européenne qualifie de kidnapping, l’Organisation Nations Unies ainsi que l’union Africaine ont condamné fermement ces arrestations et demandent la libération immédiate de Bah N’Daw et son premier ministre Moctar Ouane.

 

 

 

M. Bah N’Daw désigné Président de la Transition malienne et son Premier ministre Moctar Ouane ont été mis aux arrêts par des militaires mécontents du nouveau gouvernement. Les nouveaux dirigeants ont été conduits sous la contrainte militaire au camp militaire de Kati, à quelques kilomètres de Bamako, haut lieu de l’appareil militaire malien.

A travers un tweet, le Secrétaire Général des Nations Unies Antonio Guterres a condamné ces actes et a exigé la libération « inconditionnelle » des deux dirigeants.

L’Union Africaine ainsi que l’Union Européenne ont emboité le pas à l’Organisation en charge du maintien de la Paix dans le monde. « le comité local de suivi de la transition, composé de la Communauté économique des Etats de Afrique de l’ouest (Cédéao), de l’Union africaine (UA), de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation du Mali (Minusma), avec des membres de la communauté internationale, y compris la France, les États-unis, le Royaume Uni, l’Allemagne et l’union européenne, exprime sa profonde préoccupation face à la situation au Mali marquée par l’arrestation du Président de la transition, du Premier ministre et de certains de leurs collaborateurs », a indiqué le communiqué publié par les organisations et pays impliqués dans l’accompagnement de la transition au Mali.

Poursuivant, les organisations condamnent « fermement la tentative de coup de force survenue à la suite de la publication du décret portant nomination des membres du gouvernement », et exige « la libération immédiate et inconditionnelle » des personnalités arrêtées, soulignant que « les éléments militaires qui les détiennent seront responsables de leur sécurité ».

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