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Loi anti-homosexualité 2023 en Ouganda : Réactions internationales et détermination du président Museveni



L’Ouganda est au cœur d’une controverse internationale depuis la promulgation de la « loi anti-homosexualité 2023 » par le président Yoweri Museveni. Considérée comme l’une des lois les plus répressives au monde, elle suscite des réactions vives et des menaces de sanctions de la part de certains pays occidentaux.

Dans un discours devant les membres du parti au pouvoir, Museveni a déclaré avec détermination : « Personne ne nous fera bouger ». Il a souligné que son parti, le Mouvement de résistance nationale (NRM), est fidèle à ses principes et ne tient pas un double discours. Il a félicité les législateurs pour leur soutien et a affirmé que personne ne peut les vaincre lorsqu’ils se battent pour ce qu’ils estiment être juste.

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Loi anti-homosexualité 2023, une loi répressive ?

Les réactions ne se sont pas fait attendre. Les organisations de défense des droits humains et de nombreux pays occidentaux ont exprimé leur indignation face à cette loi répressive. Le président américain Joe Biden a qualifié cette loi de « honteuse » et a demandé à son administration d’étudier les conséquences sur la coopération entre les États-Unis et l’Ouganda. Des mesures supplémentaires, telles que des sanctions ou des restrictions d’entrée, sont envisagées.

Josep Borrell, chef de la diplomatie européenne, a également condamné cette loi, la qualifiant de contraire aux droits humains. Il a averti que les relations avec les partenaires internationaux seraient compromises si le gouvernement ougandais ne protège pas les droits fondamentaux de ses citoyens.

Il convient de rappeler que cette n’est pas la première fois que l’Ouganda adopte une législation répressive à l’encontre des personnes LGBT+. En 2014, une loi similaire avait été votée, ce qui avait entraîné une réduction de l’aide internationale et des sanctions de la part de plusieurs pays.

La détermination affichée par le président Museveni et sa volonté de ne pas céder aux pressions internationales soulèvent de nombreuses interrogations quant aux conséquences de cette loi sur les droits humains en Ouganda. La situation reste tendue et le monde observe de près l’évolution de la situation dans ce pays d’Afrique de l’Est.

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