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Liban : Carlos Ghosn dénonce un complot entre Nissan et le procureur japonnais



Liban : Carlos Ghosn dénonce un complot entre Nissan et le procureur japonnais

Carlos Ghosn, l’ex PDG de Renault dément lors de sa conférence de presse préparer un projet audiovisuel avec Netflix.

Carlos Ghosn, dont l’arrestation au Japon et la fuite vers le Liban ont fait les choux gras de la presse, a démenti lors de sa conférence de presse ce mercredi avoir signé un contrat avec la plateforme Netflix pour raconter son histoire.

« Premièrement il n’existe pas de contrat avec Netflix. Il y a un grand nombre de légendes rapportées dans les journaux », a expliqué l’ex-PDG de Renault-Nissan. Il affirme ne pas pouvoir évoquer cette rocambolesque aventure:

« Je ne raconterai pas le déroulement de ma fuite car je ne souhaite exposer personne a de sérieux problèmes. Ce n’est pas parce que je souhaite cacher quelque chose que je ne raconte pas le déroulement de ma fugue, mais c’est pour protéger toutes les personnes qui m’ont aidé. Et il n’y a pas de contrat avec Netflix.

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Le 3 janvier, un média indiquait que l’ex-PDG de Renault-Nissan avait signé une exclusivité avec Netflix pour un projet de film sur sa fuite. Le lendemain, le site d’informations précisait que la société de streaming lui avait fait savoir que l’information était “inexacte”, sans démentir toutefois qu’un producteur ayant pour projet de vendre son projet à Netflix ait pu prendre contact avec Carlos Ghosn en vue de réaliser un film.

Par ailleurs, lors de la conférence de presse ce mercredi, une question d’une journaliste a porté sur son état d’esprit au moment de quitter le Japon, alors qu’il était assigné à résidence depuis avril 2019, après 130 jours en prison.

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“Le 20 novembre 2018 (le jour de son arrestation au Japon, NDLR), c’est comme si j’étais décédé, a-t-il répondu. Je vivais chaque jour en me disant ‘j’ai une vie tout à fait réduite’, et je ne savais pas si j’allais revoir les gens que j’aime. C’est comme si j’étais mort. Quand vous êtes comme ça, vous êtes paralysé, vous êtes anesthésié. Vous vous anesthésiez pour vous protéger contre la souffrance. Vous ne supportez plus rien, c’est votre façon de survivre à cette période. Quand j’ai vu que j’étais sorti (du Japon, NDLR), c’est comme si, quelque part, je revenais à la vie.” (écoutez la vidéo ci-dessous)

Carlos Ghosn fait l’objet de quatre inculpations au Japon: deux pour abus de confiance aggravé et deux pour des revenus différés non déclarés aux autorités boursières par Nissan (aussi poursuivi sur ce volet), notamment des montants qu’il devait toucher après sa retraite estimés par la justice à 9,23 milliards de yens (74 millions d’euros) de 2010 à 2018

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