En Grande-Bretagne dans les années 1900, une mère de quatre enfants a reçu le titre de « femme la plus laide du monde » afin de nourrir ses enfants.
Mary Ann Bevan est née à Newham, Londres en 1874 et a vécu la vie d’une fille ordinaire. Elle a grandi pour devenir infirmière, a épousé un homme nommé Thomas Bevin et a eu quatre enfants.
Quelques années après le mariage, sa santé a commencé à montrer des signes de détérioration. Ce que la plupart des gens ont l’air « moche » est en fait une maladie dont elle souffre, appelée acromégalie, dans laquelle le corps produit trop d’hormone de croissance.
Bien que les caractéristiques physiques disproportionnées soient évidentes, ce que les gens ne peuvent pas voir, c’est la douleur qu’elle a subie à cause de la maladie, qui s’est manifestée par une migraine sévère et des douleurs musculaires.
Mais la maladie physique est définitivement secondaire, car après 11 ans de mariage, le mari de Mary est décédé, la laissant seule pour subvenir aux besoins de la famille. Alors que leur situation financière se détériorait, Mary a choisi de faire des sacrifices.
Mais pour Mary Ann, l’humiliation ne s’est pas arrêtée là.
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Commandez MaintenantAprès avoir remporté le concours, elle a été embauchée comme interprète de « freak show » pour Coney Island Juggling Dreamland. Elle a également servi d’attraction de cirque. Elle a enduré le ridicule des autres pour élever ses enfants et les laisser vivre une vie meilleure.
Jusqu’à sa mort en 1933, Marianne a continué à travailler dans le spectacle de vaudeville de rêve de Coney Island.
Mais il y a une lueur d’espoir dans son histoire... Au fil des ans, Mary Ann Bevan est devenue une figure inspirante, en particulier pour les personnes souffrant d’acromégalie et de problèmes de santé similaires.
Aujourd’hui encore, la société juge encore les gens sur l’apparence : si nos yeux pouvaient voir l’âme plutôt que le corps, Marianne serait la plus belle femme du monde. Mais il y a une lueur d’espoir dans son histoire… Au fil des ans, Mary Ann Bevan est devenue une figure inspirante, en particulier pour les personnes souffrant d’acromégalie ou de problèmes de santé similaires.
Aujourd’hui, la société juge encore une personne sur son apparence. Si nos yeux pouvaient voir l’âme au lieu du corps, Marianne serait la plus belle femme du monde.