Le nom de l’ex président ivoirien, « Laurent Gbagbo » est aux lèvres des militants de son parti politique FPI. Ces derniers aiment toujours voir Laurent Gbagbo à la tête du parti. Alors que les conditions de l’acquittement de Gbagbo à la CPI ne lui permettent pas de se dire président d’un parti politique.

Cette façon de procéder peut selon certains mettre en péril la liberté de l’ancien chef d’Etat ivoirien et viole carrément les conditions de la CPI.

« Vous saviez qu’il avait signé auprès de la Belgique et de la CPI qu’il n’allait pas se dire président d’un parti politique, ni même exprimer une opinion politique et vous trimbalez son nom partout dans les affaires politiques avec votre « Gbagbo dit » écrit le site yeclo.com.

Pour eux, ceux qui trimbalent le nom de Laurent Gbagbo « sont des ennemis autour de lui », car il serait mieux de porter leur choix sur un autre candidat que de vouloir montrer leur estime à Laurent Gbagbo en le mettant dans un autre problème. « Ces personnes qui violent les conditions de sa liberté conditionnelle avec leur « Gbagbo dit ».

« Particulièrement, vous aviez voulu obliger Affi à déclarer sur rfi que Gbagbo est le président du FPI. Donc vous faisiez exprès pour enfoncer le président Gbagbo vis à vis de la CPI où son appel est toujours pendant, mais surtout, vous tuez tout espoir de voir assouplir ses conditions de liberté conditionnelle », déplore le site.

« En violant les conditions de sa liberté conditionnelle en son nom, vous creusiez sa tombe! Les vrais ennemis de Gbagbo sont autour de lui. De la vraie sorcellerie. Des agents infiltrés. Dégoûtant »,a-t-il conclu.