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Les impactés menacent de boycotter l’inauguration du Train express régional (Ter)



A quelques mois de l’inauguration du Train express régional (Ter), les membres de l’Association des artisans et autres brocanteurs de Colobane ont durci le ton et tenté d’assiéger, ce vendredi, les locaux de l’Agence national chargée de la promotion des investissements et des grands travaux (Apix).

Ces derniers envisageaient de déposer la liste des 800 personnes affectées par ce projet. Ils voulaient, aussi, profiter de cette occasion pour faire une déclaration face à la presse, mais mal leur en a pris. Ils ont été dispersés par la Police centrale de Dakar avant l’arrestation de leur secrétaire général, Cheikh Diop.

Un incident qui a poussé ces artisans de changer de lieu de manifestation. Ils se sont retrouvés à la gare Lat-Dior de Dakar. Et ont désigné Ndiaga Diouf comme porte-parole du jour. Celui-ci, au cours de son discours, est revenu sur les faits. «Depuis la mise en place du projet de Train express régional (Ter), les artisans et brocanteurs sont dans des difficultés parce que, les 8 hectares qu’ils occupaient ont été affectés, sans leur consentement, au projet du Ter», a-t-il soutenu.

Après des négociations, ajoute leur porte-parole, «le Dg de l’Apix nous avait promis des terres à Sébikotane, mais quand nous nous sommes rendus là-bas, nous avons trouvé un promoteur sur place en train de construire». Ivre de colère face à cette situation, les artisanats se disent prêts à aller au front pour pousser le gouvernement à réagir. «Nous sommes prêts à tout pour que nos droits soient rétablis. A cet effet, nous interpellons directement le Président de la République à prendre ses responsabilités et à apporter des solutions sur cette affaire», ont-ils menacé.

 

En effet, les camardes de Cheikh Diop qui réclament leurs indemnisations, ont décidé aussi de faire comme les gilets jaunes en France pour perturber la cérémonie de l’inauguration du Ter. «Le Président de la République a vu ce qui se passe en France et nous sommes plus déterminés que les gilets jaunes français. Nous n’excluons pas de faire comme eux pour saboter l’inauguration du Ter, dont la date a été retenue pour le 14 janvier», dit-il d’un ton ferme.

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