En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Découvrez nos offres pour annonceurs - Publicité 4 Publicité 4 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Visitez 3Vision Group - Publicité 3 Publicité 3 banner Publicité 3

LE RÉGIME OUATTARA PRÉPARE UNE GUERRE ETHNIQUE EN CÔTE D’IVOIRE



PRÉSIDENTIELLE 2020 : TOUT SUR LE PLAN DE TÉNÉ BIRAHIMA OUATTARA (TBO) POUR CRÉER UNE GUERRE ETHNIQUE EN CÔTE D’IVOIRE.

Ils sont des tueurs sans pitié. Je demande que cette enquête soit transmise à les tous dirigeants de parti d’opposition de Côte d’Ivoire. Cela peut servir à sauver les vies de leurs militants.
Le sang coule à nouveau en Côte d’Ivoire pour la conservation du pouvoir. Chaque jour, des personnes sont tuées à la machette comme au Rwanda ou brûlées vives comme dans les bantoustans d’Afrique du sud. Le monde entier a pu voir des centaines de jeunes gens drogués, armés de machettes, de gourdins à clous et de barres de fer, s’attaquer mortellement aux manifestants pacifiques qui protestaient contre un troisième mandat d’Alassane Ouattara. Et ce, grâce aux vidéos postées sur les réseaux sociaux, reprises par France 24 et grâce au rapport d’Amnesty International.

I. La milice de Photocopie fait couler abondamment le sang des Ivoiriens.

Depuis, le vendredi 21 août 2020, le monde entier a découvert avec horreur, les images de personnes brûlées vives, de commerces incendiés, de marchés carbonisés. Et derrière ces agressions brutales et ces incendies criminels, des hordes de jeunes prétendant agir au nom du RHDP et pour la défense d’Alassane Ouattara. Ces bouchers ont un commanditaire : Téné Birahima Ouattara dit Photocopie, le petit frère du Président Alassane Dramane Ouattara.

Ce vendredi-là, le monde entier a découvert que des jeunes gens, en provenance d’Abidjan, ont lancé une attaque bestiale contre les femmes qui marchaient pour dire NON au troisième mandat d’Alassane Ouattara. Ces hordes de voyous ont non seulement tué plusieurs personnes, mais aussi incendié la quasi-totalité des cars de la société de transport, Camille Transport (CT) ainsi que les maquis Cœur Blanc, Tour Eiffel et un supermarché, tous appartenant à des Abourés de Bonoua.

Le même vendredi, à Divo, des échauffourées ont opposé des bandes de jeunes convoyés sur place pour faire face aux manifestantes de l’opposition, défendues par les jeunes gens de la localité. Bilan : une pâtisserie et un restaurant détruits et la totalité des cars de la gare routière de Hiré, partie en fumée.

Partons de Divo, pour démarrer notre enquête sur ces bandes de jeunes criminels qui tuent et incendient impunément, avec la complicité d’une partie des forces de l’ordre.
Les miliciens qui avaient effectué une descente sur cette ville étaient venus pour s’opposer violemment à la marche des femmes, mais aussi et surtout, pour trouver et assassiner un jeune homme du nom de Kouadio N’Dri Valentin, président de la JPDCI Urbaine. Selon les renseignements qui leur avaient été fournis, ce jeune homme avait fui Abidjan pour se réfugier dans la commune de Divo. Il fallait donc le retrouver, le poignarder ou le machetter à mort, puis brûler des biens appartenant aux autochtones et rentrer après avoir répandu la terreur dans la commune.
La mission a été accomplie, sauf celle consistant à assassiner Kouadio N’Dri Valentin. Il était introuvable. Les tueurs, communément appelés « microbes » sont rentrés à Abidjan, en laissant derrière eux une vingtaine d’éléments chargés de traquer ce jeune homme du PDCI.

Selon le compte rendu des médias sociaux, ces microbes ont assassiné 9 personnes : 6 personnes au centre-ville de Divo et 3 dans le quartier Bada. Mais, selon le débriefing de fin de mission qu’ils ont effectué à leur chef à Abidjan, ils ont déclaré fièrement avoir tué 10 personnes lors de leur intervention à Divo. Le chef à qui ils rendent compte, c’est Yaya Koné dit Gaza, un officier des Eaux et Forêts, ancien démobilisé recruté par Téné Birahima Ouattara via son âme damnée Yaya Ouattara, qui est lui, en fonction au Service de renseignement de la Présidence de la République. Nous expliquerons plus en détails, dans cette enquête, le fonctionnement de cette milice rattachée à Photocopie.

En ce qui concerne Koné Yaya dit Gaza, chef des jeunes tueurs qui ont sévi à Bonoua et à Divo, il faut savoir qu’il a sous ses ordres un effectif de 604 personnes, qu’il envoie en mission selon les ordres qui lui sont donnés et les cibles qui lui sont indiquées. Ainsi, il a envoyé ses hommes à Bonoua, à Daoukro, à Divo et à Yopougon. Ils sont choisis pour aller dans les points chauds pour se battre. Quand ils se rendent dans une localité, ils ont une liste de personnes à arrêter ou à éliminer. Cette liste est confectionnée par le patron des services de renseignement présidentiels, le Préfet Vassiriki Traoré. C’est lui, qui grâce aux écoutes téléphoniques, repère les leaders des mouvements et dresse leur liste comme étant les personnes qu’il faut éliminer pour étouffer la contestation. Cette liste est remise à Photocopie pour validation.
À son tour, il ajoute ou retranche des noms, en fonction de ses intérêts. Puis, transmets le document à Yaya Ouattara pour exécution. Ce dernier contacte alors Koné Yaya ou le nommé Coulibaly Sani Gon Daouda dit David, qui choisissent les éléments à envoyer sur le terrain en fonction de la localité où il faut intervenir, pour mater l’opposition et éliminer quelques têtes fortes.

En général, les gens à assassiner sont soit des leaders du PDCI, soit des dirigeants locaux de GPS. Ces assassinats sont censés se produire lors de bagarres au cours desquelles les victimes sont poignardées. Pour cela, les microbes reçoivent des moyens financiers et des armes blanches (poignards, machettes) ou des objets contondants tels que des gourdins à clous, barres de fer, etc. Ils ne sont pas encore dotés d’armes à feu. Après les affrontements en bande, leur seconde mission est de détruire des biens appartenant à certains autochtones suspectés d’être les financiers de la contestation.
La destruction des richesses des autochtones est un plan conçu par Téné Birahima Ouattara pour affaiblir l’opposition et intimider tous ceux qui sont suspectés d’avoir très peu de sympathie pour le RHDP ou pour Alassane Dramane Ouattara. Je répète : la destruction des richesses des autochtones fait partie d’une stratégie mûrement réfléchie par Téné Birahima Ouattara, le petit frère du Président de la République.

En voyant des jeunes nordistes venus d’ailleurs s’attaquer à leurs biens, une réaction d’autodéfense se déclenche immédiatement chez les populations autochtones, qui à leur tour, s’en prennent violemment à tous les nordistes de la ville. Il s’ensuit alors un affrontement intercommunautaire sanglant. Ce schéma a été parfaitement exécuté à Gagnoa, à Daoukro, à Bonoua et à Divo. D’autres villes sont programmées pour être attaquées et y créer un conflit intercommunautaire.
L’objectif recherché est que les nordistes, dans un réflexe de tribu assiégée, se mobilisent autour de « leur frère » Alassane Ouattara, le candidat, qui seul pourrait les protéger de la colère des autres ethnies. C’est une stratégie à trois tiroirs que Photocopie a mis en place pour mettre le pays sous pression, avant la présidentielle d’octobre 2020. Je récapitule :

– Étape 1 : profiter des manifestations pour éliminer quelques leaders de l’opposition.
– Étape 2 : détruire les richesses de ceux qui sont soupçonnés de financer les manifestants ou les opposants.
– Étape 3 : créer un sentiment de peur chez les nordistes qui les pousserait à effectuer un vote strictement communautaire au profit d’Alassane Ouattara.

Après l’élection, Alassane Ouattara lancera un appel au calme et entamera une démarche de réconciliation nationale, apparaissant ainsi comme un homme d’État soucieux de la cohésion de son pays. Dans ce tableau, il manque un homme : Hamed Bakayoko, Ministre de la Défense et père des premières milices abidjanaises.

La milice d’Hamed Bakayoko, hormis quelques éléments civils tels Cissoko Tidiane dit Tito ou Traoré Amodi dit Amoudé, est composée essentiellement d’hommes en tenue. La plupart d’entre eux sont au CCDO ou sont à la base de Sebroko, sous le commandement du Colonel Inza Fofana dit Grumman.

Cependant, dans cette bataille pour la conservation du fauteuil présidentiel, c’est Photocopie qui est première ligne et Hamed Bakayoko est au second plan. Lors de ces opérations de destruction et d’incendie, ses hommes à lui, placés sous le commandement du Colonel Grumman et du Colonel Koné Zakaria, escortent les miliciens. Quand les populations arrivent à capturer quelques-uns de ces microbes et veut les lyncher, les hommes d’Hamed Bakayoko interviennent aussitôt pour les arracher des mains des populations en colère. On l’a vu à Yopougon. À chaque fois que la population se révolte et s’arme de courage pour affronter les miliciens, les policiers du CCDO interviennent pour s’interposer ou pour les sauver.

L’Armée dans sa grande majorité n’est pas favorable à ces méthodes qui consistent à employer des civils pour faire le sale boulot d’exterminateur et utiliser les forces régulières comme bouclier de ces tueurs. À 80%, l’Armée désavoue les agissements d’Alassane Ouattara et de son frère Photocopie. Elle grogne. Mais, ce duo n’en a cure. Ils misent sur les forces parallèles pour se maintenir au pouvoir. S’il le faut, en déchirant le tissu national et en créant une guerre communautaire entre les communautés nordistes et l’ensemble des autres communautés du pays. Le pays peut s’embraser, mais si leur fauteuil est sauf, ils n’en ont cure.

II. Architecture de la milice de Photocopie

Dans l’une de mes précédentes publications, j’avais décrit la manière subtile par laquelle le Président Dramane Ouattara avait confié la gestion de sa milice privée à son frère cadet Téné Birahima Ouattara, qui a son tour avait désigné son neveu Yaya Ouattara pour l’organisation logistique de cette milice dénommée C.C.L. (Compagnie des Combattants pour la Liberté).
J’avais aussi par la même occasion démontré comment cette armée de l’ombre forte 2 500 hommes, avait été injectée dans l’administration publique et privée ivoirienne avec la complicité de Fidèle Sarassoro, patron de L’ADDR. Cette armée parallèle avait pour mission :
– D’abord, renseigner Photocopie par le canal de son neveu Yaya Ouattara ;
– Ensuite, agir en temps opportun pour maintenir Alassane Dramane Ouattara au pouvoir, car rompue au maniement des armes de guerre.

Des détails plus précis avaient été donnés sur leurs arsenaux de guerre que le Général Vagondo avait réceptionnés. Hélas, pour ceux qui avaient encore des doutes, cette milice est entrée en action.
Chris Yapi a pu suivre pour vous le dispositif mis en place en ce moment, en vue de mobiliser ces tueurs à gage pour soutenir la candidature d’Alassane Ouattara.
Rappelez-vous des 2 000 ex-combattants de la C.C.L. qui ont été casés (Douanes, Eaux et Forêts, aux ports, services d’entretien des palais, services de sécurité de plusieurs hôtels d’Abidjan et de Yamoussoukro, gardes pénitentiaires, etc.) pour ne citer que ceux-là et des 500 hommes formés militairement au Burkina Faso, constituant le premier cercle de la sécurité rapprochée du Président de la République.

Chris Yapi dispose du fichier complet de tous ces combattants dissimulés dans les différents secteurs d’activités du pays, avec leurs numéros de téléphone. Fidèle Sarassoro sait bien de quoi je parle, car il a travaillé en étroite collaboration avec certains premiers responsables de ces groupes armés. Pour preuve, après tout le processus de réinsertion des ex-combattants, M. Sarassoro a récompensé certains chefs de ces miliciens avec l’accord du Président Ouattara, en bombardant une vingtaine d’entre eux au rang d’officiers des Eaux et Forêts, bien qu’étant d’un âge avancé pour certains ou ne sachant ni lire ni écrire leurs noms en français.

À cet effet, Yaya Ouattara, le neveu de Photocopie, qui avait coordonné l’insertion professionnelle de ces 2 500 ex-combattants avec l’aide de Fidèle Sarassoro, a reçu l’ordre de se rassurer de la fidélité de ces forces occultes. C’est ainsi qu’il a reçu à son bureau au Palais de la présidence certains chefs de ces ex-combattants pour leur faire part de la volonté de leur parrain, Téné Birahima Ouattara.
Après cet entretien, il leur a distribué des fiches de renseignement pour un recensement ultra rapide. Parmi ces agents recruteurs, deux (2) ont particulièrement retenus l’attention de Chris Yapi, vu leur détermination à vouloir réussir vaille que vaille cette mission qui leur a été confiée. Il s’agit des nommés Koné Yaya dit Gaza et de Coulibaly Sani Gon Daouda dit David. Qui sont-ils ? Comment opèrent-ils sur l’ensemble du territoire ivoiriens ?

lII. Biographie des deux hommes

1- Koné Yaya

Nom et prénom : Koné Yaya
Pseudo : Gaza
Date et lieu de naissance : 06 juin 1974 à Ganaoni S/P Dianra
Nom du père : Koné Lacina
Nom de la mère : Cissé Madawa
Corps de métier : Agent des Eaux et Forêts au cantonnement de Daoukro
Tél. : 07 07 66 XX
Résidence : Daoukro

Cet homme, après des études coraniques dans son village natal (Ganaoni S/ P Dianra), s’est installé à Bouaké pour des travaux de maraboutage. Il a créé dans la capitale du centre, son cabinet de consultations mystiques. N’ayant pas une parfaite maîtrise de son art, la clientèle va se faire rare. Koné Yaya va profiter de la rébellion de 2002 pour intégrer les rangs des Forces Nouvelles.
Avec la guéguerre entre les différentes factions de la rébellion, il s’est réfugié à Abidjan après la mort de Kass. Pendant la crise post-électorale, il a réapparu avec le Commando invisible à Abobo. C’est là qu’il a fait la connaissance de Yaya Ouattara.
Pendant le programme de réinsertion de l’ADDR, M. Fidèle Sarassoro l’a reçu avec une dizaine d’ex-combattants pour leur confier des collectes d’armes sur l’ensemble du territoire. Ils ont reçu mensuellement des primes et d’autres avantages leur ont été accordés. À l’issue de cette mission de collecte d’armes, il a intégré directement le corps des agents des Eaux et Forêts avec le galon de lieutenant, sans avoir passé de concours au préalable.

2 – Coulibaly Sani Gon Daouda

Nom et prénom : Coulibaly Sani Gon Daouda
Pseudo : David
Date et lieu de naissance : 16 janvier 1974 à Treichville
Nom du père : Coulibaly Fatogoman
Nom de la mère : Bamba Korotoum
Origine : Korhogo
Corps de métier : Agent des Eaux et Forêts au cantonnement d’Agboville
Tél. : 07 68 55 XX
Résidence : Treichville

Anciennement proche du Commandant Tracteur, David a rejoint les rangs de la C.C.L., où il a renforcé ses relations avec Yaya Ouattara. Neveu de l’ex-Premier ministre, feu Amadou Gon Coulibaly, il a travaillé avec Amadou Coulibaly dit AMS, l’un des responsables des services de renseignement de la Primature.
Comme Gaza, il a fait partie de l’équipe de M. Fidèle Sarassoro vers la fin du processus de désarmement des ex-combattants. Pour le récompenser, il a lui aussi été bombardé au rang des officiers des Eaux et Forêts avec le grade de lieutenant.

Ces deux officiers des Eaux et Forêts ont été choisis par Yaya Ouattara pour superviser l’ensemble des opérations des différentes équipes de collecte des fiches sur l’ensemble du territoire. Ce qu’il faut savoir, c’est que Yaya Ouattara a attribué à chacun de ses collaborateurs une zone de compétences tenant compte de leurs différents secteurs d’activités. Chaque recruteur a une feuille de route bien claire.
Tous les anciens combattants, qui veulent continuer à travailler avec le parrain, Téné Birahima Ouattara, doivent s’inscrire sur la liste électorale et remettre la photocopie de leurs récépissés d’inscription à l’agent chargé du recrutement pour le compte de la Présidence. Par la suite, ils doivent remplir une fiche.
Toutes ces fiches sont ramenées au Palais présidentiel et réceptionnées par Yaya Ouattara. Ce qui permet à ce dernier de réactualiser la base de données dont il dispose, depuis le début de la réinsertion des ex-combattants. Cela permet de faire des vérifications depuis le Palais d’Abidjan. La seconde phase consistait à les sensibiliser sur la nécessité de se mettre ensemble autour d’Alassane Ouattara, car selon eux, son départ de la tête de l’Exécutif ivoirien sonnerait leur renvoi de leurs différents secteurs d’activités.

Toutes les villes où des ex-combattants ont été affectés sont sillonnées en ce moment par des équipes dirigées sur le terrain par Coulibaly Sani Gon Daouda dit David et Koné Yaya dit Gaza.

CHRIS YAPI NE MENT PAS.

 

D3De9Ae5-D32E-4Acd-92F9-58F940024669
6Ace8D4C-54Fb-4Fc4-A06E-700E4B48F337
2E825A85-D52E-465C-8A42-67Dcf2563830
83Fe664D-7Fd7-4567-Bd79-4Bc694C7A005
 

 

6920A30D-8637-4776-B4A8-8Cb6955149F3

 

 

 

 

 

 

3Ee896D2-Db7A-4A58-Bb2A-A3Bdaa6Ba3Dc

Attention, cette enquête traite d’hommes dangereux.

Caf0Ea18-7A28-42E9-97D6-F42Dc532C71F

 

 

Ils sont des tueurs sans pitié. Je dem

 

Rejoignez DOINGBUZZ PREMIUM

Découvrez un monde de contenus exclusifs et d'opportunités.

Accédez Maintenant

Lancez-vous dans une nouvelle aventure avec DoingBuzz

Découvrez une multitude d'offres d'emploi et de bourses d'études adaptées à votre parcours.

doingbuzz DIRECT
Mots-clés associés à l'article :

Newsletter

Abonnez-vous et accédez à tous nos articles en premier !