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Entre avril et juillet, le Sénégal a rapatrié 970 migrants.

Le gouvernement sénégalais a récemment annoncé que 970 migrants avaient été rapatriés entre les mois d’avril et de juillet de cette année. Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’une politique de gestion des migrations visant à protéger les droits des Sénégalais résidant à l’étranger.

Le rapatriement des migrants a été mis en place en coopération avec divers partenaires internationaux, tels que l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) et d’autres organismes concernés par cette question sensible. Ces organisations se sont engagées à faciliter le retour sécurisé des migrants et à fournir une assistance appropriée, conformément aux normes internationales.

Cette opération de rapatriement a permis aux migrants de rentrer chez eux dans des conditions respectant leur dignité et leurs droits fondamentaux. Le gouvernement sénégalais a veillé à ce que les migrants soient pris en charge dès leur retour, en les aidant à reprendre leur vie dans leur pays d’origine.

Cette démarche a également été réalisée dans le but de lutter contre la traite des êtres humains et de combattre les réseaux de migration illégale. En offrant aux migrants des alternatives sûres et légales, le gouvernement cherche à décourager les pratiques dangereuses et à promouvoir des voies de migration régulières et sécurisées.

Il est à noter que cette initiative de rapatriement ne concerne pas uniquement les migrants en situation irrégulière, mais également ceux qui souhaitent retourner volontairement dans leur pays d’origine. Le gouvernement encourage donc tous les migrants sénégalais qui le désirent à profiter de cette possibilité de retourner chez eux dans des conditions adéquates.

Cette mesure témoigne de l’engagement du Sénégal en faveur d’une gestion humaine et responsable des migrations. En rapatriant les migrants dans le respect de leurs droits, le pays cherche à garantir leur sécurité et leur bien-être tout en promouvant une migration ordonnée et bénéfique tant pour les migrants que pour les communautés d’accueil.

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