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Le Mali « n’obéira à aucun ordre », Abdoulaye Diop sur la détention de 46 militaires ivoiriens



De toute évidence, la junte au pouvoir au Mali ne veut pas lâcher prise. Dans une interview exclusive accordée à VOA, le chef des affaires étrangères du Mali, Abdoulaye Diop, est revenu sur la situation des 46 militaires ivoiriens toujours détenus au Mali.

En effet, le ministre des Affaires étrangères du Mali a précisé que sur ce document, son pays n’obéira à aucun ordre. Le ministre malien des Affaires étrangères, Abdoulaye Diop, a fait le point lundi sur l’arrestation de militaires ivoiriens au Mali. « Ces mercenaires ivoiriens sont arrivés à Bamako le 10 juillet, sans préavis et sans l’accord des autorités pour porter des armes de guerre », se souvient Abdoulaye Diop.

« Dans ce contexte sécuritaire tendu, aucun pays sérieux ne permettrait à des hommes armés d’arriver dans son pays… C’est dans cette situation qu’ils sont détenus et leurs dossiers sont déférés à la justice, qui leur donne une caution.

Mais néanmoins, de bonne foi, compte tenu de la complexité et de la densité de nos relations avec la Côte d’Ivoire, le Mali a exprimé sa volonté de résoudre le problème par la voie diplomatique et le dialogue », a déclaré Abdoulaye Diop. différence bilatérale Abdoulaye Diop a déclaré sans ambages que, pour le Mali, l’incident des 46 soldats ivoiriens était une autre affaire bilatérale.

Lire aussi: Magic System : Asalfo se prononce sur l’affaire des 46 soldats ivoiriens détenus au Mali

« En l’occurrence, la CEDEAO a traité ce document, que le Mali considère comme un document bilatéral entre deux pays frères très différents, une solution qui doit être trouvée par le dialogue, et accueille naturellement les contributions d’autres pays. « La voix du Mali n’a pas été entendue dans cette discussion, et nous ne savons pas sur quoi ces décisions étaient fondées.

Toutes les décisions prises sont dans l’intérêt de la Côte d’Ivoire », a regretté le chef des affaires étrangères malien, soulignant que la CEDEAO Le point de départ de l’instance se trompe, ce n’est pas un tribunal, tout insiste sur le fait que le Mali n’obéira « à aucun ordre ».

Lors de la 77e session de l’Assemblée générale de l’ONU, la CEDEAO et le Secrétaire général de l’ONU ont exigé la libération immédiate des soldats ivoiriens détenus au Mali. L’organisation sous-régionale a également annoncé l’envoi de trois chefs d’Etat à Bamako pour régler le dossier.

Mais le Mali n’est pas encore prêt à recevoir un courrier de la mission de bons offices de la CEDEAO.

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