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LE CYCLISME SOUHAITE REPRENDRE SES DROITS, MALGRÉ LA PANDÉMIE



Ce satané virus peut-il contribuer au Tour de France le plus indécis de l’histoire ? En dehors des contraintes sanitaires et organisationnelles, la course devrait aussi être influencée par la pandémie de Covid-19, qui a provoqué son report de début juillet à fin août, ainsi qu’un arrêt des compétitions cyclistes en général pendant plus de quatre mois. « Il y a certaines interrogations qui me plaisent plus que d’autres et les interrogations sportives me plaisent beaucoup, sourit Christian Prudhomme, le directeur du Tour. Les coureurs ont eu des préparations différentes, il fera moins chaud lors de la 3e semaine dans les Alpes et il y aura plus de vent qu’en juillet. »

Encore sous le charme de l’édition précédente, Christian Prudhomme espère de nouveau une course sous forme de feux d’artifice : « On a eu une course enthousiasmante, avec l’un des plus jeunes vainqueurs de l’histoire, le premier Colombien [Egan Bernal]. Si ça pète par l’avant, je suis le plus heureux. Je signe pour avoir tous les ans un Tour comme 2019. »

« Des coups tactiques énormes à jouer »

Hors de question, pour lui, de s’inquiéter d’une éventuelle domination étouffante de l’équipe Ineos, qui concentre dans ses rangs les trois derniers vainqueurs de l’épreuve : Egan Bernal et les Britanniques Geraint Thomas et Christopher Froome. « Tout dépend du scénario. Pour moi, ce n’est pas tellement le vainqueur qui importe, c’est le fait qu’il n’y ait pas de chape de plomb sur la course. »

Alors que le parcours a été dessiné pour favoriser le spectacle, escarpé dès le premier dimanche – « deux cols à plus de 1 500 mètres » –, Christian Prudhomme mise sur l’opportunisme du peloton dans les premiers jours : « Il y a des coups tactiques énormes à jouer pour les équipes à plusieurs leadeurs. Les cinq favoris iront-ils chercher un gars du deuxième rang dans une échappée en montagne ou lui laisseront-ils trois ou quatre minutes en se regardant ? »

Dans l’aspiration de Thibaut Pinot et de Julian Alaphilippe, grands animateurs du Tour 2019, le cyclisme français peut encore briller, selon le patron du Tour : « Il y a un carré d’as français avec Pinot, Alaphilippe mais aussi Warren Barguil et Romain Bardet. On n’est pas à l’abri d’une bonne surprise. »

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