Les récents combats dans les villes israéliennes ont pris fin, selon les rapports des médias, citant le service de presse des Forces de Défense Israéliennes (FDI). Les colonies frontalières sont actuellement sous le contrôle des FDI, tandis que l’évacuation des habitants de 15 d’entre elles se poursuit. Cependant, l’armée israélienne a reconnu la présence continue de militants armés dans certaines villes.

Selon le journal Haaretz, des échanges de tirs ont été signalés dans la communauté agricole de Sa’ad, près de la ville de Sderot, qui est limitrophe de la bande de Gaza. En outre, Israël continue d’attaquer des cibles du Hamas depuis les airs, accentuant ainsi les tensions dans la région.

L’escalade des hostilités a débuté le 7 octobre, lorsque les forces du mouvement palestinien Hamas, basé à Gaza, ont lancé une attaque contre Israël, tirant des milliers de roquettes et envoyant des hommes armés dans les communautés israéliennes. En réponse à cette attaque, les FDI ont annoncé le lancement de l’opération antiterroriste « Iron Swords » dans la bande de Gaza. Parallèlement, la branche militaire du Hamas a informé son opération baptisée « Al Aqsa Flood ».

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Le Hamas a justifié ses activités récentes en mettant en avant l’augmentation des affrontements avec les forces israéliennes ces derniers mois à la mosquée Al Aqsa, un lieu considéré comme sacré pour les musulmans. Cette situation a exacerbé les tensions dans la région, entraînant une réponse musclée des autorités israéliennes.

Le 8 octobre, le cabinet militaro-politique israélien a officiellement déclaré que le pays était entré dans un « état de guerre » et qu’il était prêt à mener des « opérations militaires à grande échelle ». Cette déclaration souligne la gravité de la situation et la volonté d’Israël de répondre fermement aux provocations.

Alors que la situation demeure tendue, la communauté internationale observe de près l’évolution des événements et appelle au calme et à la retenue de toutes les parties impliquées. L’issue de cette crise reste incertaine, mais il est impératif que les efforts diplomatiques soient déployés pour prévenir toute escalade ultérieure et rétablir la paix dans la région.