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L’armée éthiopienne accusée d’avoir tué des soldats soudanais



L’armée soudanaise a déclaré samedi que plusieurs soldats avaient été tués lors d’une attaque menée par des groupes armés et des milices liées à l’armée éthiopienne dans une région frontalière fertile contestée.

« Nos forces chargées de sécuriser les récoltes à Al-Fashaqa (…) ont été attaquées par des groupes de forces armées et de milices éthiopiennes, qui cherchaient à intimider les agriculteurs et à gâcher la saison des récoltes », ont déclaré les forces armées soudanaises dans un communiqué.

Les troupes soudanaises « ont repoussé l’attaque » et « infligé de lourdes pertes en vies humaines et en matériel » du côté éthiopien, a-t-il indiqué.

Mais l’attaque a fait « plusieurs morts » parmi les forces soudanaises, a-t-il précisé, sans faire de bilan.

L’agence de presse Reuters, citant des sources militaires, a déclaré qu’au moins six soldats avaient été tués dans l’attaque.

Les responsables éthiopiens n’ont pas pu être contactés dans l’immédiat pour commenter cette information.

Al-Fashaqa est une zone frontalière longtemps cultivée par des agriculteurs éthiopiens mais revendiquée par le Soudan.

La zone, qui borde également la région troublée du Tigré en Éthiopie, a connu des affrontements meurtriers sporadiques entre les deux parties au cours des dernières années, mais se sont intensifiés l’année dernière.

Les tensions ont augmenté après que les combats ont éclaté au Tigré en novembre 2020 et ont envoyé des dizaines de milliers de réfugiés fuir vers le Soudan.

Khartoum et Addis-Abeba sont depuis enfermés dans une guerre verbale tendue sur la région, échangeant des accusations de violence et de violations territoriales.

Le différend frontalier alimente des tensions plus larges dans la région, notamment à propos du barrage controversé du Grand Ethiopian Renaissance sur le Nil Bleu en Éthiopie.

Les deux pays en aval, dépendants du fleuve pour la majeure partie de leur eau, y voient une menace existentielle.

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