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L’Afrique et ses mystères : Mis dans un cercueil rouge, un cadavre refuse d’aller au cimetière



Un événement des plus insolites s’est produit le week-end dernier dans la commune de Zéaglo (département de Blolequin), dans l’ouest du pays. Décédé le 12 avril 2022 au CHU de Yopougon à l’âge de 98 ans des suites d’une longue maladie, la dépouille mortelle du Patriarche Siéto, après une veillée funèbre à Abidjan le 12 mai, a été transportée à Zéaglô, sa ville natale, pour y être inhumée.

Au lendemain de la dernière veillée funèbre à Zéaglo, entouré de ses enfants, petits-enfants, frères, sœurs, amis et connaissances, la dépouille du patriarche Sieto en route vers le cimetière, a fait demi-tour, et a même refusé de revenir du cimetière. .

La raison de cet acte inhabituel a été donnée par des initiés. Selon eux, le patriarche Sieto, l’un des garants de la société secrète Wê dite « Koui », avait de son vivant recommandé à sa famille de le mettre dans un cercueil blanc lorsque Dieu lui a pris le souffle de vie. . Cette recommandation du défunt n’a pas été respectée par la famille qui, au lieu d’un cercueil blanc, a préféré le mettre dans un cercueil rouge, ce qui l’aurait irrité.

Pour la petite histoire, le patriarche Siéto comme mentionné plus haut, appartenait à la société secrète « Koui », qui l’obligeait durant sa vie à ne s’habiller qu’en blanc, chose qui devrait perdurer après sa mort pour ne pas rompre ce pacte éternel sur lui. et les « Koui », l’une des sociétés secrètes les plus respectées du pays Wê après les « Gla ».

Après plus d’un quart d’heure d’enchantements et de « dialogues » avec le cercueil qui ont donné du fil à retordre aux chargés de le porter, tout est finalement rentré dans l’ordre. Le cercueil a été rendu au cimetière, et le Patriarche Siéto a été enterré dignement par la famille et dans la pure tradition Wê.

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