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La tension grimpe entre l’Algérie et le Maroc « Pas de paix entre les systèmes »



Le piratage du site Web de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) a été imputé à des pirates informatiques algériens prétendument formés par l’Iran.

Cette situation a exacerbé l’escalade entre Alger et Rabat, ces deux pays n’ont aucun goût sacré.

Après l’annonce mercredi des tensions entre le Maroc et l’Algérie, deux voisins d’Afrique du Nord, le site Internet de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) a été piraté par des hackers algériens prétendument entraînés par les scientifiques iraniens.

Selon les médias du Royaume qui ont fourni l’information, après avoir été piraté lundi 22 novembre, le site Internet de la Confédération générale des entreprises du Maroc a affiché un drapeau algérien sur sa page d’accueil pendant un certain temps. En plus des panneaux, il y a un message d’avertissement.

« No peace between systems », lit-on dans le message qui signifie littéralement « Pas de paix entre les systèmes ». Selon la conclusion du quotidien Assabah, qui demande l’avis d’experts, le piratage est le travail des services de sécurité iraniens.

Le journal est allé plus loin et a déposé de graves allégations contre les autorités algériennes qui auraient planifié le coup d’État.

En fait, il a été révélé qu’un groupe d’Algériens a récemment reçu une formation de l’équipe des services de sécurité iraniens pour mener des attaques de piratage à grande échelle sur des sites Web marocains.

Convaincus que l’Iran n’essaie pas pour la première fois, les experts du journal ont révélé que « Hexane Spirline », basé à Téhéran, est souvent enfermé.

Les experts ont souligné que la société iranienne avait tenté à plusieurs reprises d’envahir les sites Web et les comptes de réseaux sociaux du Maroc par le biais de cyberattaques survenues en juin, septembre et octobre.

Les médias marocains ont rappelé qu’un responsable algérien avait invité le département de la sécurité de son pays à utiliser des pirates pour pirater le site officiel du Maroc à des fins de sabotage et d’espionnage.

 

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