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La junte prévoit de « poursuivre » le président Mohamed Bazoum pour « haute trahison »

Dans un développement surprenant, la junte militaire au Niger a annoncé son intention de « poursuivre » le président Mohamed Bazoum pour « haute trahison ». Cette décision marque une escalade des tensions entre la junte et le président élu démocratiquement.

La junte, dirigée par le colonel Assimi Goïta, a pris le pouvoir en février dernier lors d’un coup d’État qui a renversé le gouvernement en place. Depuis lors, le pays a été plongé dans une crise politique et sociale, avec des appels croissants à un retour à l’ordre constitutionnel.

La junte accuse le président Bazoum de haute trahison en raison de ses actions supposées contre l’intégrité du pays et de la sécurité nationale. Cependant, aucun détail spécifique sur les motifs de cette accusation n’a été fourni à ce stade.

L’annonce de la junte a suscité de vives réactions tant au niveau national qu’international. Les partisans du président Bazoum dénoncent cette démarche comme un acte désespéré de la part de la junte pour consolider son pouvoir. Ils affirment que le président a été élu démocratiquement et qu’il est légitime.

Sur le plan international, de nombreux pays et organisations se sont exprimés en faveur d’un retour à l’ordre constitutionnel au Niger. Ils appellent toutes les parties à engager un dialogue inclusif pour résoudre la crise actuelle de manière pacifique et dans le respect des principes démocratiques.

Il reste à voir comment cette situation évoluera et quelles actions concrètes la junte entreprendra à l’égard du président Bazoum. Dans tous les cas, il est impératif que les intérêts du peuple nigérien soient placés au premier plan et que des solutions pacifiques soient recherchées pour sortir de cette impasse politique.

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