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La Guinée solde sa dette et réintègre l’ONU



 

La Guinée ne doit plus rien à l’Organisation des Nations Unies. Le pays sous le joug d’une junte a soldé sa dette de 270 mille dollars américains, ce qui lui donne de nouveau le droit de vote au sein de l’organisation. L’annonce a été faite ce jeudi 20 janvier 2022 par le ministre des Affaires étrangères, de la coopération internationale, de l’intégration africaine et des Guinéens de l’étranger Dr Morissanda Kouyaté.

Au terme du conseil ordinaire des ministres, le ministre guinéen de la diplomatie a annoncé que la Guinée a finalement réglé sa dette auprès de l’ONU après avoir payé sa dette de 270 mille dollars américains. Elle qui avait récemment perdu son droit de vote avec sept autres pays du monde. La Guinée regagne sa place au sein de la prestigieuse organisation.

Depuis trois ans, la Guinée n’a pas payé ses cotisations, ce qui lui a valu une suspension au sein de l’institution. « Des instructions fermes ont été donné par le président de transition de Guinée et le paiement a été effectué », a souligné le ministre Kouyaté.

Mardi 11 janvier dernier, le Secrétaire Général Antonio Guterres a déclaré aux membres de l’Assemblée générale que huit pays avaient perdu leur droit de vote à l’ONU en raison de leur dette colossale à l’égard de l’organisation internationale. La Guinée ne fait plus partie de ces pays, contrairement à l’Iran, le Soudan et le Venezuela, qui doivent encore solder leur dette.

En effet, la mise à l’écart de ces pays est justifiée par la charte de l’ONU qui prévoit une suspension du droit de vote à l’Assemblée générale pour tout pays dont la dette est égale ou supérieure à la contribution due pour deux années. D’après les précisions du chef de l’ONU, au total, «11 États membres sont actuellement en retard dans le paiement de leurs contributions au sens de l’article 19 de la Charte des Nations unies».

D’après les explications de Antonio Guterres, si l’accumulation des arriérés est due « à des circonstances indépendantes de sa volonté », un État visé par l’article 19 peut quand même garder son droit de vote.

 

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