En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Découvrez nos offres pour annonceurs - Publicité 4 Publicité 4 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Visitez 3Vision Group - Publicité 3 Publicité 3 banner Publicité 3

La Guinée équatoriale arrête des militaires français dans une affaire d’atteinte à la sécurité du pays



Au lendemain de la condamnation de son vice-président, la Guinée Equatoriale a accusé la France d’avoir tenté de porter atteinte à la sécurité du pays, après qu’un hélicoptère de l’armée française se soit posé à l’aéroport de Bata sans autorisation.

En Guinée équatoriale six (6) soldats français ont été retenus à l’aéroport de Bata, Malabo accusant la France de porter atteinte à sa sécurité. « Les autorités nationales n’excluent pas que cet incident militaire soit une opération d’espionnage et de provocation de Paris », a fait savoir la TVGE, radio d’État équato-guinéenne.

A bord de l’appareil, six militaires français retenus jeudi 29 juillet à l’aéroport de Bata. L’Etat-major français évoque un manque de pétrole et dément les informations selon lesquelles ils seraient en mission d’espionnage.

« Ils se sont posés mercredi à 14 h 15 parce qu’ils n’avaient plus de pétrole. Cette information est totalement infondée, puisqu’il s’agissait d’une mission logistique. L’hélicoptère n’est pas armé, les gens qui sont à bord de l’hélicoptère ne sont pas armés. C’était simplement un besoin de refaire le plein de carburant de l’hélicoptère », a tenté d’expliquer le colonel Pascal Ianni, porte-parole de l’état-major des Armées françaises.

Et de poursuivre : « On est dans une phase de négociation avec les autorités locales. On a régulièrement des difficultés avec les autorités de Guinée équatoriale lors des transits logistiques entre Douala et Libreville. Ce n’est pas la première fois que ça arrive et donc cela ne suscite pas d’inquiétude particulière de notre côté et je pense qu’on va rapidement trouver une solution ».

Pour informations, ces accusations interviennent alors que le vice-président Teodorin Obiang Nguema, fils du président en exercice, a été condamné définitivement, le mercredi 28 juillet 2021, par la justice française dans l’affaire des « biens mal acquis » pour avoir blanchi près de 150 millions d’euros en France.

Rejoignez DOINGBUZZ PREMIUM

Découvrez un monde de contenus exclusifs et d'opportunités.

Accédez Maintenant

Lancez-vous dans une nouvelle aventure avec DoingBuzz

Découvrez une multitude d'offres d'emploi et de bourses d'études adaptées à votre parcours.

doingbuzz DIRECT

Newsletter

Abonnez-vous et accédez à tous nos articles en premier !