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La CPI lance un mandat d’arrêt contre Joseph Kabila, les raisons 



La Cour pénale internationale (CPI), a lancé un mandat d’arrêt contre l’ancien président de la République Démocratique du Congo, Joseph Kabila. Le mandat d’arrêt ne s’adresse pas à lui seul, il est également émis contre plusieurs anciens dignitaires de son régime.

 

En effet, ils sont accusés d’avoir commis des crimes contre l’humanité. Ils doivent donc répondre des faits de crimes contre l’humanité, perpétrés, dans la période de 2015 à fin 2018. Ces crimes ont été commis via « des attaques généralisées et systématiques » lancées contre des populations civiles et en connaissances de ces attaques, en l’occurrence contre des membres de l’opposition, de la société civile et des activistes pro-démocratie.

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Joseph Kabila ne sera pas le seul à répondre à ces crimes. Cinq autres responsables de l’ex-pouvoir présidentiel sont concernés : Alexis Thambwe Mwamba, ministre d’État, Garde des Sceaux et ministre de la Justice de Kabila; Emmanuel Ramazani Shadary, vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, au moment des faits; Évariste Boshab Mabudj-ma-Bilenge, secrétaire général du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD de Kabila). L’on lit également les noms de Mambert Mende et Kalev Mutond, les deux dernières personnalités pro-Kabila visées par le mandat.

 

Ce document de la CPI aurait fait son apparition sur les réseaux sociaux en RDC en juillet 2019. Il refait surface après que Félix Tschikedi s’est plaint auprès de certains chefs d’État de l’Union africaine (UA), de la réduction de ses marges de manœuvre, en tant que successeur de Kabila.

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