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La probable candidature de Laurent Gbagbo sérieusement compromise



En exil depuis plus de 10 ans, l’ex-président ivoirien avait manifesté ces derniers jours son désir de rentrer au pays. Les comptes de Laurent Gbagbo avec la CPI étant plus ou moins réglés depuis plus d’un an, il avait le feu vert de rentrer au pays. Mais son retour s’apparente depuis à parcours de combattant et son avenir politique semble compromis. En effet les autorités ivoiriennes sont constamment accusées de ne pas vouloir laisser l’ancien président rentrer librement.

Après s’être vu refuser l’obtention d’un passeport diplomatique, Laurent Gbagbo s’était résigné à demander un passeport ordinaire. Mais cette démarche de l’ancien président semble se heurter aussi à des obstacles. Même si les autorités ivoiriennes ont promis depuis de délivrer ledit passeport à l’ancien président, il y a cependant des conditions contraignantes qui l’accompagnent.

Lire aussi : Le gouvernement ivoirien accepte de délivrer le passeport de Laurent Gbagbo

Me Habiba TOURE, l’avocate personnelle de Laurent Gbagbo vient en effet de faire une révélation qui a réveillé les courroux de ses soutiens et semble confirmer aussi leurs doutes. L’ancien homme fort ivoirien serait rentré en possession de son casier judiciaire comme l’avait promis le porte parole du gouvernement Sidi Tiemoko Toure, au sortir du Conseil des Ministres du 30 Juillet dernier.
Une déclaration qui était presque passée inaperçu jusqu’à l’obtention du Casier Judiciaire qui soulève des revendications dans le camp de Laurent Gbagbo.

À travers un communiqué officiel, son avocate s’est indignée d’une mention étrange mentionnée sur le casier judiciaire de son client. »… En effet, il a été remis un casier judiciaire à Michel Gbagbo qui, à notre fort étonnement, présente une condamnation qui serait intervenue le 29 octobre 2019 à l’encontre du Président Gbagbo, et pour laquelle il n’a pourtant reçu ni convocation, ni décision judiciaire.
À l’examen de ce casier judiciaire, il apparaît que ce document a été établi, au lendemain du Conseil des Ministres, c’est à dire le 30 juillet 2020, soit 2 jours après la demande de passeport ordinaire introduite par le Président Gbagbo, et cela dans la précipitation tant il est truffé d’erreurs.
Jamais le Président Gbagbo n’a pensé… » a t-elle communiqué.

Lire aussi : Élection présidentielle/La candidature de Gbagbo se précise

Ce retournement de situation n’a pas manqué de faire réagir les pro-Gbagbo qui croyaient encore en une probable candidature de l’ancien président pour l’élection présidentielle de Octobre 2020. Selon eux, le pouvoir en place serait entrain de passer par tous les moyens pour éviter qu’un tel événement de produise. Un évènement qui éventuellement risque de bouleverser l’échiquier politique ivoirien.

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