La sensation du football français Kylian Mbappé a pris l’audacieuse décision de porter plainte contre l’influenceur Mohamed Henni pour avoir utilisé son nom dans la description d’un kebab vendu dans son restaurant, déclenchant un débat houleux sur la liberté d’expression et le droit à l’image.
La polémique a éclaté lorsque Mohamed Henni, fervent supporter de l’Olympique de Marseille, a donné le nom de Mbappé à un sandwich vendu dans son restaurant, le décrivant comme un « pain rond de boulanger, aussi rond que le crâne de Mbappé ». L’avocate de Mbappé, Delphine Verheyden, a rapidement envoyé une mise en demeure à Henni, invoquant l’utilisation commerciale non autorisée du nom du footballeur et affirmant que la nature péjorative de la description était préjudiciable à son image.
LIRE AUSSI : Après Kylian Mbappé, Ethan Mbappé pourrait aussi se retrouver au Real ?
La réaction de l’influenceur Mohamed Henni suite à la plainte Kylian Mbappé au sujet de la controverse sur les noms de kebabs
En réponse, M. Henni a exprimé son indignation sur les médias sociaux, accusant Mbappé d’avoir réagi de manière excessive et indiquant son intention de contester l’affaire devant les tribunaux. Il a souligné que d’autres joueurs, comme l’ancienne star de l’OM Dimitri Payet, ont également fait l’objet de plaisanteries dans les descriptions du menu de son restaurant, avec un sandwich surnommé « une galette aussi chargée que Payet ».
🚀Annonces pour Nos Partenaires !
Créez votre site web professionnel à un prix imbattable avec 3Vision-Group.
Découvrez l'OffreCommandez une application mobile sur mesure et transformez vos idées en réalité !
Commandez MaintenantLa controverse souligne l’équilibre délicat entre la liberté d’expression et les droits individuels. Henni maintient que ses plaisanteries étaient inoffensives et dénuées d’intention malveillante, tandis que Kylian Mbappé est déterminé à protéger son image et sa réputation.
LIRE AUSSI : Kylian Mbappé dinera avec le président Emmanuel Macron et l’émir du Qatar
Au fur et à mesure que la bataille juridique se déroule, l’affaire servira sans aucun doute de test décisif pour les limites de l’humour et la protection des droits de la personne à l’ère numérique. On attendra avec impatience le verdict pour connaître la position de la Cour sur cette question complexe.