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« Je ne suis pas assez performant » : le polygame avec 4 femmes et 10 enfants veux en avoir plus



Le célèbre polygame sud-africain, Musa Mseleku, pense qu’il n’est pas assez performant même s’il a 10 enfants de quatre épouses.

Lors d’une interview accordée à Drum, Musa a déclaré qu’il ne comprend pas pourquoi il n’a que 10 enfants et qu’il est prêt à avoir d’autres.

« J’ai 10 enfants et je pense que je ne suis pas assez performant. Un homme qui a quatre femmes est censé en avoir plus. Il doit avoir au moins 15 à 20 enfants. », se désole le polygame.

« J’ai appris à apprécier le fait que j’ai donné la vie au monde. Cependant, être un père est une responsabilité encore plus grande à porter, au jour le jour. La responsabilité d’un père est de prendre soin de ses enfants, de les protéger et de s’assurer qu’ils sont bien nourris. », ajoute Mseleku Musa.

M. Musa affirme qu’il donne de l’attention à tous ses enfants même s’ils sont différents et qu’il apprend à se comporter différemment avec eux sans que les autres se sentent moins aimés que les autres.

« Quand vous élevez des enfants, vous devez identifier les domaines dans lesquels vous n’êtes pas doué. Si vous pensez que vous maîtrisez tout, vous risquez de faire des erreurs, surtout avec les enfants, qui sont très observateurs. », croit-il savoir.

Musa a également révélé que c’est très important pour lui de laisser un héritage: « Être polygame est une chose difficile parce que les enfants sont ceux qui peuvent détruire ou construire un héritage, donc en tant que père, vous devez être dans leur vie et pratiquer l’égalité tout le temps. La comparaison avec l’autre au sein de la famille est une recette pour la haine et le désastre.

Je suis, le plus, fier de mes enfants lorsque je suis assis avec eux et que j’écoute comment ils parlent des choses auxquelles je crois et que je chéris le plus. Lorsqu’ils font cela, consciemment ou inconsciemment, je réalise alors que j’ai fait du bon travail.

Ils me racontent comment ils ont répondu à d’autres enfants qui posaient des questions sur leur famille « pas si normale ». C’est alors que je me rends compte que j’ai planté la bonne graine.

Le plus important, c’est que je leur enseigne à chérir le fait d’être une famille. Je ne veux pas qu’ils pensent que nous vivons en vase clos. La famille passe avant tout. »

Crédit photo : zambianews

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